Association des Travailleurs Maghrébins de France
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Compte-rendu de la projection du film 10949 femmes

Une belle séance cinématographique  avec beaucoup d’émotions dans la salle lors du visionnage du film « 10949 Femmes » de Nassima Guassoum  le 14 mars au cinéma Jean Gabin, dans le cadre de la journée de lutte pour les droits des femmes, organisée par l’Espace femmes citoyennes de l’ATMF Argenteuil en partenariat avec le centre culturel le Figuier Blanc et le Maghreb des films. La mobilisation de toute l’association était très visible, nous avons été félicité par la direction du centre culturel qui se dit ravi de ce partenariat avec l’ATMF.

Nous avons relevé plus de cent participants, le film a suscité beaucoup d’émotions dans le public, certains ont témoigné en se reconnaissant porteur de cette histoire douloureuse qui est la guerre d’Algérie.

 Nassima Guassoum dans sa prise de parole a souligné qu’il était important pour elle, jeune franco-algérienne historienne d’aller recueillir cette parole de militante en Algérie pour compléter cette histoire théorique apprise dans les universités, qui se limitaient plus à des chiffres. Pour elle, le côté humain était occulté et elle avait besoin d’un modèle de référence, comme un enfant a besoin de son héros. Ce cheminement pour réaliser ce film lui a demandé 5 ans de recherches.

Clotilde Lebas, jeune chercheuse ethnologue, enseignante à l’université de Toulouse Jean Jaures, a pour sa part relevé cette relation construite entre deux personnes de deux générations différentes facilitant ainsi la transmission de la mémoire très importante selon elle, pour parfaire sa propre construction et son identité. Le rapport entre les générations est nécessaire pour réécrire l’histoire et en saisir le sens à travers le parcours de vie.

Pour finir sur une note plus conviviale, un buffet maghrébin, avec thé à la menthe et petits gâteaux, a permis un échange très animé et riche  avec Clotilde et Nassima qui ont été félicitées.

Voici quelques passages de témoignages dans la salle ou  les réseaux sociaux: 

De Délia A.: « un excellent film de Nassima Guessoum
« 10949 Femmes », en présence de la réalisatrice, suivi par un café-philo autour de la thématique du film, avec Clotilde Lebas, enseignante en anthropologie.ce documentaire m’a tellement touché que je suis sortie en larmes de la salle, l’histoire d’une militante qui raconte sa vie sans tabou, une femme qui jusqu’à son dernier souffle à gardé sa force et sa dignité, paix à son âme »

Marie France F. « Ce film sur les femmes, qui parle de l’Algérie du passé, est un récit contemporain et universel qui met à l’épreuve cette question toujours d’actualité : Qu’est ce que la liberté ? Quel est son prix ?. Un public intergénérationnel ravi et intéressé. .. »

Amine : « Je n’ai jamais vu l’histoire d’Algérie raconté de cette manière, en Algérie c’est toujours les films de « La bataille d’Alger » etc. cette femme est formidable elle me rappelle ma grand-mère (sanglots..)

Kaddour : en regardant ce documentaire, j’avais les larmes aux yeux ça m’a rappelé mon adolescence en Algérie…

Jeacques V.ce documentaire m’a rappelé mon enfance en Algérie où je suis né…

Fatima : Merci pour l’invitation et encore une fois bravo, c’était une excellente idée…Bises à toute l’équipe

Nassima Gassoum : « Merci pour ce retour, c’est un plaisir partagé..

Merci à l’Atmf de m’avoir accueillie, d’avoir organisé cette rencontre projection et permis de partager avec tous ceux qui sont venus ce moment, leurs récits et leurs retours très émouvants.

Merci de votre confiance à tous et pour cette belle après-midi passée ensemble.

Un petit mot aussi pour Alicia du cinéma Jean Gabin, Fouzia, bien sûr, Mokhtar, Kaddour, j’oublie certainement des noms, mais pas les visages et les témoignages. Bien à vous tous. »

Pour illustrer et immortaliser ces moments d’échanges, des photos sont ci-jointes.

Pour retrouver l’ATMF d’Argenteuil, rendez-vous sur leur site : ATMF Argenteuil

Des sites ont passé l’info:

Lien : http://paris.demosphere.eu/rv/38575
Source : http://maghrebzine.fr/2015/03/10/10949-femmes…
Source : http://www.euromed-france.org/spip.php?articl…

Argenteuil

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Rencontre « Femme et éducation »

Le samedi 7 mars, l’ATMF Aix-en-Provence organisait une rencontre à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Cette rencontre a été divisée en plusieurs temps : découverte d’une exposition, un cercle de parole avec une chorégraphie et des lectures de texte suivie de débats et d’échanges sur l’éducation, un pot de l’amitié, une chorégraphie de danse contemporaine et enfin, des chants et des danses berbères accompagnés d’un défilé de tenues traditionnelles.

Une centaine de participant-e-s ont été accueillies par les militantes de l’Espace femmes de l’association.

photo ATMF Aix

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Débat / soirée musicale à Nancy

Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, l’ATMF Nancy organise un débat suivi d’une soirée musicale, le vendredi 13 mars, à Vandoeuvre. Le débat sera consacré à « la sensibilisation des femmes aux violences conjugales et au harcèlement », animé par :

– Elise Ahimon du CIDFF (Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles)

– Mina Tougami, chargée de l’action sociale à l’ATMF

– Françoise Cerf, de l’association ACLA (Les Amis de la Culture et de la Langue Arabe) et psychologue

 

Le débat sera suivi d’un repas, puis d’un concert de musique et de danse de l’orchestre al-Ouns sous la direction d’Abdelali Bouayoune.

Infos et réservations : 03 83 40 06 69 / 06 73 06 55 42

 

 

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Projection du film « 10949 Femmes » de Nassima Guessoum

L’espace Femmes citoyennes de l’ATMF Argenteuil organise, à l’occasion de la Journée internationale pour les droits des femmes, la projection du film « 10949 Femmes » en présence de la réalisatrice Nassima Guessoum, le 14 mars. La projection sera suivie d’un café-philo avec Clotilde Lebas, enseignante au département d’anthropologie de l’Université Toulouse-Jean Jaurès. Ses travaux s’intéressent aux manières dont les femmes s’écartent des places et des rôles auxquels elles sont assignées (en France et en Algérie).  Cette journée est organisée en partenariat avec « le Maghreb des Films » et le centre culturel le Figuier Blanc et se déroulera au cinéma Jean Gabin à Argenteuil.

Synopsis : « 10949 femmes » rend hommage aux combattantes de l’ombre de la guerre d’indépendance de l’Algérie. Ce film est issu des nombreuses rencontres entre la réalisatrice et Nassima Hablal, l’une des premières militantes du mouvement national. Cuisinant, chantant, narrant sa vie héroïque avec une totale liberté de ton, elle brise tous les clichés qui ont pu être colportés sur les femmes indigènes considérées comme « soumises » et « effacées ». En convoquant Baya El-Khala et Nelly Forget, ses compagnes de prison et de lutte, le film confère à la parole féminine le droit de s’exprimer dans des espaces à toute liberté d’expression. 10949 femmes est un film à propos de et entre femmes, un récit universel qui interroge sur ce qu’est la liberté et sur son prix.

 

Contact : 01 39 82 81 48

PAF : 3 euros

 

 

 

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Séminaire : rencontre et échanges sur le statut de la femme maghrébine

Organisée par l’ATMF d’Aix en Provence et le Réseau Femmes de l’ATMF National

Samedi 13 décembre 2014

Salle de Bois de l’Aune Jas de Bouffan 13090 Aix en Provence

PROGRAMME

— 16h – Conférence/débat avec l’intervention de :

- Fouzia Hamhami – Membre du bureau de l’ATMF National : Les accords bilatéraux et le statut personnel des femmes maghrébines.

- Anne Chicard – Juriste : Le droit au séjour des femmes maghrébines victimes de violences conjugales : quels droits ?

- Constance De Gourcy – Sociologue : Les plis singuliers de l’absence : la migration des femmes entre histoire et mémoire.

- Clotilde Lebas – Anthropologue : Le rapport des femmes à la mobilité.

— 19h : Buffet – buvette

— 20h30 : Soirée Culturelle


Contact : 0952700982 – atmf13@hotmail.fr



Aix en Provence

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La femme Tunisienne, libre et Citoyenne ! Rassemblement à Paris le mardi 13 août 2013

Cinquante-sept ans déjà que le Code du Statut Personnel a été promulgué, quelques mois à peine, après l’indépendance de la Tunisie, c’est-à-dire le 13 août 1956. Bourguiba en a été l’instigateur, malgré la réticence des « cléricaux » et des conservateurs. La polygamie est abolie, la répudiation, aussi. Le mariage n’est autorisé que par consentement mutuel, à partir de dix-huit ans révolus, pour les deux époux, et la dissolution du mariage se fait uniquement, par divorce devant les tribunaux. L’avortement est garanti par la loi, depuis 1973 et l’accès aux moyens de contraception est rendu accessible gratuitement, dès le début des années soixante. En 1957, les femmes ont le droit de voter et d’être éligibles et le port du voile, est interdit dans les écoles. Et même, l’adoption plénière – inconnue du droit musulman- qui ne reconnaît que la Kafala, est légalisée en 1959, ce qui constitue une avancée notable en matière de droits de la mère et de l’enfant.

Malgré toute cette batterie de mesures et cette pléthore de réformes, le Code du Statut Personnel reste insuffisant et la législation tunisienne –d’inspiration chariatique-, ne garantit pas une égalité parfaite, entre les femmes et les hommes. Egalité, qui d’ailleurs, tend à se fragiliser avec l’arrivée au pouvoir du parti islamiste Ennahdha, qui ne cesse de vouloir faire reculer les droits des femmes et réduire leurs libertés.
En effet, malgré la levée des réserves sur la Convention sur l’Elimination de toutes les formes de discrimination à l’Egard des Femmes (CEDAW), par Beji Caïd Essebsi, le 6 août 2011, celle-ci n’est pas appliquée intégralement, notamment en matière d’égalité successorale, injustice que ne répare pas le CSP. De même, son silence, à propos du mariage entre une musulmane et un non-musulman est depuis 1969, interprété par la plupart des juges comme une reconnaissance de l’interdiction donnée par le droit musulman en la matière.

Il est à noter que la dot, est encore, indispensable pour la validité du mariage et que le mari est encore considéré comme « le chef de la famille » (art. 23). Donc, ni la loi, ni le CSP ne consacrent un modèle sociétal parfaitement paritaire, où les femmes et les hommes ont exactement les mêmes droits et les mêmes devoirs.
Aujourd’hui, dans un contexte post-révolutionnaire de grande crise politique, les femmes sont plus que jamais menacées et la maîtrise de leur corps, devient un enjeu primordial, derrière lequel se cachent certains, pour diviser la société tunisienne entre croyants pieux et mécréants dévergondés. Il n’y a qu’à voir la descente aux enfers d’Amina Sboui, aujourd’hui, heureusement libérée mais non acquittée, qui a osé braver l’interdit de la nudité et qui a montré ses seins pour protester contre l’injustice faite aux femmes. Il n’y a qu’à se promener sur les réseaux sociaux et à lire les commentaires concernant la jeune fille qui aurait été torturée par des Libyens, puis jetée par la fenêtre. Il n’y a qu’à se rafraîchir la mémoire et à se rappeler les propos de Rached Ghannouchi concernant les « ramassis » (Luqata’), les enfants illégitimes et ceux de Souad Abderrahim, à propos des mères célibataires, qui devront se confronter à la nouvelle réalité ; celle des Moujahidat Annikah (les combattantes de la fornication) revenues de Syrie. Il n’a qu’à se remémorer les tentatives d’islamiser la constitution et à creuser les inégalités entre les femmes et les hommes et nous voilà face à des « compléments de l’homme », qui ne sauraient se passer de l’autorité d’un tuteur…

Nous, acteurs de la société civile et personnalités indépendantes, appelons à un rassemblement « Femmes tunisiennes ; libres et Citoyennes », le mardi 13 août 2013 à 17h30, à la Fontaine des Innocents, en soutien à l’appel de l’UGTT pour une manifestation en vue de célébrer la fête de la femme, et dans l’esprit du sit-in de Bardo, réclamons :

– L’abolition de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes

– Le renforcement des droits et de la protection de la femme, en matière de harcèlement et de harcèlement sexuel

– L’obligation de parité, dans toutes les institutions et instances de l’Etat

– La sauvegarde et le renforcement de tous les acquis de la femme tunisienne, notamment en ce qui concerne le droit à l’avortement et l’accès à la contraception, mais aussi en matière de violence conjugale.

Premiers Signataires :

— Collectif 3C
— AIDDA
— FTCR
— Collectif des Femmes Tunisienne
— Utit Idf
— ATMF
— ATF

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Journée internationale de lutte pour les droits des femmes

Nous, Militantes du réseau ATMF qui puise ses racines des mouvements de la coordination des
femmes Maghrébines dès 1980, profondément éprises de justice, d’égalité et de dignité.

Aujourd’hui le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits mais aussi journée de bilan sur
la situation des femmes dans nos sociétés, en France, en Tunisie, en Algérie, au Maroc…
Conscientes du long chemin qui reste à parcourir par les femmes pour arracher leurs droits et un long
combat pour une égalité effective entre les hommes et les femmes mais aussi entre toutes les femmes quel
que soit leur nationalité.

Nous, réclamons que la situation des femmes migrantes ou exilées en France soit considérée au
même titre que les autres femmes avec cette particularité liée à leur statut personnel.

Le renouvellement de plein droit de carte de séjour pour les femmes qui se séparent de leurs conjoints suite à des violences conjugales et qui se retrouvent confrontées à de doubles violences en aggravant leur situation administrative.

L’abrogation des conventions bilatérales entre la France et les pays du Maghreb qui place la femme sous la tutelle de son mari. Dénonçons fortement ces violences institutionnelles.

Nous refusons que ces violences s’ajoutent aux violences physiques et psychologiques.

Nous soutenons toutes les femmes victimes de violences et particulièrement les mouvements de femmes Maghrébines en lutte pour acquérir leurs droits ici et là-bas !

Nous exigeons le droit au séjour pour toutes les femmes persécutées dans leurs pays d’origine pour motif de genre.

Nous réclamons la nécessité de considérer spécifiquement la situation des femmes migrantes de
nationalité étrangère afin de mieux lutter contre toute forme de violences à l’égard des femmes en France.

Nous exigeons que toutes les mesures soient prises pour éliminer les discriminations à l’égard des
femmes en général et des femmes migrantes en particulier face à la qualification et à l’emploi, sur la base de l’égalité homme, femme, de régulariser toutes les travailleuses sans papiers qui ne peuvent continuer de vivre dans l’insécurité permanente et qui sont en droit d’aspirer à une réelle autonomie.

Fait à Paris, le 8 Mars 2013

Fouzia HAMHAMI

Référente du réseau femmes de l’ATMF

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luttes des femmes maghrébines contre les violences faites aux femmes

A L’OCCASION DE LA JOURNEE MONDIALE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES
MAIRIE DU 10 eme ARRONDISSEMENT – salle des fêtes
72, RUE DU FAUBOURG ST MARTIN 75010 Paris
Metro Gare de l’est ou République

Intervenantes:

Feriel LALAMI, politologue, sociologue et militante des droits des femmes .

Amina KHALID, présidente de l’ AMFP- MAROC

Latifa Ben Rezig, juriste, spécialiste du code de la famille tunisien

Suzy Rotjman , CNDF

débat modéré par: F HAR et S AKROUF

Contact: atmfparis75@yahoo.fr

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Luttes des femmes maghrébines contre les violences faites aux femmes au Maghreb et dans l’immigration

A L’OCCASION DE LA JOURNÉE MONDIALE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

Le débat aura lieu à la MAIRIE DU 10ème ARRONDISSEMENT – salle des fêtes 72, RUE DU FAUBOURG ST MARTIN 75010 Paris
Metro Gare de l’est ou République


Agrandir le plan

Intervenantes:

– Feriel LALAMI, politologue, sociologue et militante des droits des femmes .

– Amina KHALID, présidente de l’ AMFP- MAROC

– Latifa Ben Rezig, juriste, spécialiste du code de la famille tunisien

– Suzy Rotjman , CNDF

débat modéré par: F. HAR et S. AKROUF

Contact: atmfparis75@yahoo.fr

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Tunisie : la victime d’un viol désignée coupable

Communiqué

Durant la nuit du 3 au 4 septembre 2012, une femme a été violée à Ain Zaghouan en Tunisie par deux policiers avec la complicité d’un troisième policier qui s’est chargé d’éloigner son compagnon et de lui usurper de l’argent.

Lors d’une conférence de presse le porte parole du Ministère de l’intérieur, Khaled Tarrouch a déclaré que la victime a été surprise par les policiers dans une situation indécente, justifiant ainsi le crime commis par les forces de l’ordre. Un juge d’instruction a d’ailleurs convoqué la victime pour atteinte à la pudeur.

Nous, Tunisiennes et Tunisiens en France :

Nous sommes profondément choqué(e)s et indigné(e)s par cet acte de barbarie.

Nous sommes outré(e)s par le traitement réservé aux victimes du viol. Ni le ministère des droits de l’Homme ni le ministère de la femme n’ont songé aux droits de la victime et sa prise en charge morale et physique.

Nous condamnons avec virulence l’accusation portée à la victime qui a comparue le 26 septembre devant la justice pour atteinte à la pudeur.

Nous rappelons que le combat des femmes tunisiennes pour les droits et l’égalité s’inscrit dans la lutte pour la liberté et la dignité et constituent des objectifs de la révolution.

Nous dénonçons fermement les propos misogynes, du porte parole du ministère de l’intérieur et l’attitude du gouvernement irresponsable et complice.

Nous sommes déterminés à combattre l’utilisation du viol comme arme pour assujettir les femmes.

Nous réaffirmons notre attachements aux principes de la révolution tunisienne contre l’humiliation, la misère et pour la dignité et l’égalité.

Nous déclarons notre solidarité inconditionnelle avec la victime du viol et de l’injustice.

Rassemblement lundi 1er octobre 2012 à 19h

Fontaine des Innocents

Métro/RER Chatelet les Halles

Non au viol, Non au viol politique,

Pour une politique et des lois fermes qui protègent les femmes victimes de violences

– Associations premières signataires :

A.D.T.F. ,ATF, Collectif des tunisiens d’Amiens, Unis(e)s-vers-elle(s), ATF-Nord, ATF-Var, ATF-Aquitaine, ATF-13, A.T.F.-Haute Savoie, A.T.F.-Rhône, FTCR, Vuyazi Le Caravansérail des femmes, ALIF’S, Femmes d’Aujourd’hui, Femmes migrantes debout, Collectif des femmes tunisiennes en France, Le manifeste du 20 mars France, REMCC, Solidarité Jasmin Marseille, le CRLDHT, Association APTC Corse, MCTF, Association Engagement citoyen, Collectif 3C, UTIT,

– Partis politiques :

Le parti des travailleurs – section France, Nidaa Tounès section France

– Personnalités premières signataires :

Leila ZAIBI : militante féministe, Aida El AMRI, militante associative, Fathi BENSLAMA, Universitaire, Najet MIZOUNI : universitaire ; Sylvie HANNE-KARBIA, Présidente LDH Talence (33) Taoufik KARBIA, universitaire, Hedi SRAIEB, universitaire, Khaled ABICHOU. Militant politique, Chérif FERJANI, universitaire, Mouhieddine CHERBIB, militant associatif, Radhouane RJAIBI, Samia AMMOUR, Féministes internationaliste, Noureddine BAABOURA, juriste, Najoua AGREBI-BAABOURA, Avocate, Mohsen DRIDI, militant associatif, Chafik EL GHOUL, militant associatif, Nathalie SAADALLAH, militante politique, Slimane SEDIRI, militant associatif, Noureddine NAJAR, militant politique, Slama HASSAN, universitaire Italie, Souad BAKLATI, Nacer JELLOUL, Fethi BEN SLAMA Sophie BESSIS, Noureddine JOUINI, Universitaire, Najet MILED, Radhia HAMAROUNI PTHIER, Habib OUARDA , Jalloul BEN HMIDA, Militant associatif, LTIFI Adel, Souad BAKALTI , Amel CHEKKAT, militante des Droits de l’Homme, Mohamed SMIDA, Rabeh ARFAOUI, Limam WAJDI, militant associatif, Besma OTHMANI,

– Premiers soutiens :

ATMF, APEL-Egalité, Le collectif (région parisienne) des droits des femmes, Osez le féminisme, Réseau Féministe « Ruptures », L’inter-collectif de solidarité avec les luttes des peuples du monde arabe (Inter-co), CNDF, RDLD, Réseau de Défense des Libertés et de la Dignité en Algérie, LDH, PER A PACE(pour la paix)