Des morts sans sépulture
Mardi 17 Octobre 2017 à Argenteuil.
A 19h, Hommage aux morts sur le Pont d’Argenteuil.
Oct
12
Sep
29
Grâce à la mobilisation et la détermination de l’Atmf nous avons obtenu l’annulation de plus de 4 600 € de dette réclamée par la Carsat à un Chibanis vivant dans un foyer Adoma à Strasbourg.
Mais malheureusement un autre Chibani du même foyer a reçu une notification, en date du 1er aout dernier, lui réclamant le remboursement de 6 870€.
Somme à rembourser au plus tard le 1er octobre 2017 !!!
Nous avons fait un recours auprès du président de la commission du recours amiable de Bas-Rhin.
Les contrôles discriminatoires et ciblés contre les Chibanis se poursuivent à Strasbourg et toujours en masse !
En effet le mardi 19 septembre plus de 10 contrôleurs (Carsat) ont débarqué au foyer Adoma (Strasbourg) pour exiger les passeports des Chibanis présents ce jour là et pour les autres un courrier déposé les invitant à se présenter à la caisse de retraite au plus tard le 29 septembre sous peine de leur suspendre leur Aspa (Allocation de Solidarité aux Personnes Agées, plus de 65 ans).
La Carsat ne se contente pas juste de suspendre l’Aspa, elle réclame le remboursement de cette aide et cela en revenant 3 ans en arrière !
À quand l’arrêt de ces harcèlements ?
Laissons les vivre leurs derniers jours DIGNEMENT.
Strasbourg – 29 septembre 2017
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Pour avoir plus d’information, merci de cliquer sur les liens ci-dessous :
1- La décision de la cour de cassation – carsat_contre_chibanis du 28 mai 2015 http://www.gisti.org/…/jur_cass_2015-05-28_aspa_condition-d…
2- Délibération de la Halde 2009-148 du 6 avril 2009 http://www.defenseurdesdroits.fr/…/h…/HALDE_DEL_2009-148.pdf
3- 2 articles des DNA du 18 mars 2016 http://www.dna.fr/edition-de-str…/…/des-chibanis-surendettes
et
http://www.dna.fr/edition-de-strasbo…/…/un-controle-de-masse
Sep
28
Depuis le mois de juin, plusieurs jeunes mineurs marocains nous visitent pratiquement tous les jours, en demande de soutien (nourriture, vêtements, se reposer…).
Voici quelques articles décrivant la situation de ces jeunes mineurs et le rôle des associations, dont l’ATMF, pour leur trouver des solutions ;
Journal 20 Minutes : http://www.20minutes.fr/paris/2111883-20170803-paris-mineurs-marocains-square-alain-bashung-toujours-livres-memes
Journal H24 info : https://www.h24info.ma/maroc/videos-paris-colle-drogue-prostitution-drame-de-mineurs-marocains-livres-a-eux-memes/
Journal Elperiodico : http://www.elperiodico.com/es/sociedad/20170823/menores-sin-techo-marroquies-se-instalan-en-una-plaza-de-paris-6239234
Journal NPA : https://npa2009.org/actualite/antiracisme/quartier-de-la-goutte-dor-lerrance-des-mineurs-isoles-marocains
Sep
3
L’Atmf et l’Alarm Phone ont tenu un stand, place kléber Strasbourg le samedi 02/09/17 entre 16h & 18h, sur la question des disparus en méditerranée ainsi que de leurs familles.
Quelques photos :
Juil
20
Rassemblement devant le Ministère des Affaires Etrangères à Paris jeudi 20 juillet à partir de 18 heures
Depuis le 28 octobre 2016 un mouvement est né au RIF (Nord du Maroc), suite au meurtre tragique d’un marchand de poisson, Mohcine FIKRI, un mouvement pacifique non-violent, inclusif, autonome, et enfin porteur de revendications justes et légitimes ; depuis il n’a cessé d’être dynamique et vivace !
Fin mai, la révolte s’est intensifiée avec une campagne d’arrestations et d’emprisonnement des militants du mouvement citoyen rifain.
Les premiers verdicts sont très lourds, 18 mois de prison ferme. A l’unanimité, les organisations de défense des droits de l’Homme, l’opinion publique nationale et internationale, dénoncent les verdicts prononcés. Malgré les multiples appels à leur libération notamment à travers des rassemblements, marches et interventions dans le cadre d’organisations internationales (Haut-commissariat aux droits humains à Genève et Parlement européen à Bruxelles), toutes ces actions sont restées vaines et sans réponse. Entre temps les militants du mouvement n’ont cessé de réitérer, leurs revendications et pour la libération de tous les détenus tout en se cramponnant au caractère pacifique et à la justesse de leur cause.
Malgré l’interdiction, le 20 juillet, une grande mobilisation est prévue à Al Hoceima à laquelle nous sommes tous appelé(e)s, à l’intérieur comme à l’Etranger, à participer massivement à la marche en solidarité et à battre le pavé pour appeler à la libération des détenus des événements et à la satisfaction de la plateforme revendicative du mouvement.
Des convois en direction d’Al Hoceima démarreront de toutes les régions du Maroc afin de faire du 20 juillet un moment fort dans la lutte populaire.
Depuis la prison d’Oukacha, à Casablanca, les prévenus du mouvement citoyen du Rif ont entamé, depuis lundi 17 juillet 2017, une grève de la faim illimitée pour « la liberté ou la mort en martyrs », les détenus tiennent à clamer, une fois encore, leur innocence de toutes les accusations retenues à leur encontre et appellent de leur vœu tout le monde à réussir cette marche, et appellent à une grève générale à Al Hoceima et dans l’ensemble du RIF.
Par notre rassemblement en ce jeudi 2017, devant le ministère des affaires étrangères français, et qui coïncide avec une marche géante qui a lieu le jour même :
– Nous exprimons notre solidarité avec les détenus politiques rifains, leurs familles et les revendications du mouvement citoyen dans le RIF
– Dénonçons avec force et fermeté toutes formes de pressions, de répressions et de violence qui s’exercent sur le mouvement et ses militants, et dont le but suprême est de museler la liberté d’expression.
Nous faisons porter la responsabilité de la présente situation dans le RIF au gouvernement et au chef d’Etat marocains, avec toutes les conséquences dramatiques éventuelles de la présente interdiction de la marche du 20 juillet à Al Hoceima,
– Nous tenons à interpeller le ministère des affaires étrangères français pour que la France arrête son soutien politique, économique et sécuritaire au régime marocain.
De même, nous exhortons l’ensemble des forces vives, dans le RIF, l’ensemble du Maroc, et à l’Etranger à redoubler d’efforts pour la libération de tous les prisonniers du mouvement social et populaire du RIF.
En conséquence, nous soutenons et appelons conjointement avec le Comité de Soutien au Mouvement Rifain Île-De-France, la Coordination des Organisations Démocratiques Marocaines en France, ATMF et IDD, à un rassemblement ce jeudi 20 juillet 2017 à 18H, devant le Ministère des Affaires Etrangères français au 37 Quai d’Orsay, 75007 Paris, Métro Invalides.
Premières organisations signataires :
– Le Comité de Soutien au Mouvement Rifain Ile-de-France
– Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF)
– La Coordination des Organisations Démocratiques Marocaines en France
– Association de Défense des Droits de l’Homme au Maroc (ASDHOM-France)
– Association Marocaine des Droits Humains (AMDH – Paris/Ile de France)-
– Forum Marocain pour la Vérité et la Justice (FMVJ-France)
– Association des parents et amis des disparus au Maroc– APADM
– Fédération des Association des Marocains en France (AMF)
– Association TAMAYNUT (France)
– Rassemblement IFNI AIT BAAMRANE –
– Forum citoyen Solidarité des Marocains en Europe
– La Voie Démocratique (Région Europe) –
– Le Parti d’Avant Garde Démocratique Socialiste (PADS-Europe)
– Le Parti Socialiste Unifié (PSU-France)
– Association Clarté Ambition Courage France
– Association Interculturelle pour la Laïcité, l’Égalité et la Solidarité avec les Femmes du Maroc (AILES-femmes du Maroc)
– Association TIDI – France
– Collectif international pour défendre les victimes de la mafia immobilière et de la délimitation forestière
– Immigration Développement Démocratie (IDD)
– Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT)
– Fédération des tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR)
– Association des Tunisiens en France (ATF)
– Comité Afrique (CA)
– Forum de Solidarité euro-méditerranéenne (FORSEM)
– ASBL Na’oura-Bruxelles
– Association des Familles des Prisonniers et Disparus Sahraouis (AFAPRESA)
– Comité pour le Respect des Libertés et des Droits humains (CORELSO)
– Association Démocratique des Tunisiens en France (ADTF)
– Réseau Sortir du colonialisme
– Parti Communiste Français (PCF)
Juil
13
L’ATMF et le comité de soutien au mouvement rifain Île de France ont organisé le 12/07/2017 une rencontre avec Rosa Moussaoui, journaliste à l’Humanité, qui vient de passer une semaine dans le Rif.
Juin
30
Formation « Combattre les discriminations racistes » au centre #ATMF Le Pollux à Aix-en-Provence jeudi 29 et vendredi 30 juin 2017.
Organisme : IFAR (Intervention-Formation-Action-Recherche)Intervenant : M. Ahmed BenyachiNombre de participants(es) : 6 jeunes de l’ATMF d’Argenteuil – 7 jeunes et 6 adultes (salariés et bénévoles) de l’ATMF Aix en Provence.Support : film documentaire
– Compte rendu
Le formateur a débuté son intervention par un rappel historique de la discrimination en relatant les différentes phases de l’histoire (début XXème siècle) qui a donné racine à ce fait social.
Qu’est-ce que la discrimination ? Quelles sont les différentes formes et situations de discriminations ? Les critères ? les lois/voie pénale/voie civile ?
Beaucoup d’échanges enrichissants autour des formes de discrimination : discrimination directe, indirecte, systémique. Savoir les différentier, les identifier et y faire face.
Les critères sont nombreux (Source : Défenseur de droits) dont voici quelques-uns : L’âge- L’apparence physique – L’appartenance réelle ou supposée à une ethnie – Le sexe – L’appartenance à une religion déterminée- L’état de santé- L’orientation sexuelle- La grossesse -Les activités syndicales -L’origine – Le lieu de résidence- la capacité de s’exprimer dans une langue autre que le Français.
Ces critères et d’autres sont interdits par la loi et encadrent la lutte contre les discriminations.
Le formateur a privilégié l’interview des participants(es), leur donnant l’occasion de bien maitriser le concept de discrimination, les définitions précises. Il leur a été demandé d’exprimer leur propre expérience, leur vécu…
C’est une démarche pédagogique participative et ouverte qui a mis les participant(e)s dans un état de confiance. Le formateur a veillé à la prise de parole de chacun dans le respect, l’écoute et la compréhension mutuelle.
Des conseils pratiques ont été donnés aux jeunes : la violence n’éradique pas l’acte discriminatoire. Il faut plutôt résister, lutter et rester soi-même. Ne rien faire serait accepter et légitimer cet acte prohibé. Lutter contre c’est affirmer l’accès à la citoyenneté à part entière.
L’intervention a été appuyée par la projection de deux scénettes et du film documentaire de Yamina Benguigui » le plafond de verre » film de 2005 mais toujours d’actualités. Il démontre les jeunes issus de la deuxième génération des immigrés, qui, en dépit de leurs efforts multiples se heurteront au plafond de verre, aux aspects invisibles des pratiques sociales (préjugés racistes, les idées reçues, les clichés, les stéréotypes…)
Les participants(es) ont exprimé à la fin de la dernière séance leur satisfaction. Ils ont montré leur aptitude et capacité à prendre conscience du concept de discrimination. Ils sont partis en se posant beaucoup d’autres questions…
La formation était pertinente et s’est déroulée dans une ambiance de convivialité.
Des fiches ont été distribuées aux participants(es) :
Fiches individuelles de renseignements, d’autorisation à l’image et d’évaluation.
Juin
27
Action collective
Non, le centre « humanitaire » pour migrants de la porte de la Chapelle à Paris n’est pas un modèle
En écho à la demande adressée au gouvernement par Anne Hidalgo, maire de Paris, de réfléchir à « un plan général d’accueil des migrants en France » avec l’ouverture de camps de premier accueil dans les métropoles régionales – à l’image de celui qu’elle a installé en octobre 2016 porte de La Chapelle, au nord de la capitale –, le ministre de l’intérieur a annoncé mardi 20 juin la possible « ouverture de centres d’accueil » pour migrants sur le territoire français. Le même jour, plusieurs élu.e.s, qui se sont rendu.e.s dans le camp humanitaire de La Chapelle, se sont relayé.e.s pour alerter sur la situation d’engorgement que connaît ce centre, avec « des tensions à l’entrée » et des rixes qui « se multiplient », et la reconstitution de « campements » rassemblant plus d’un millier de personnes dans le nord de Paris. « Depuis un certain temps », a expliqué Pascal Julien, conseiller de Paris (EELV), « il n’y a plus de sorties, donc plus d’entrées. Ce centre est saturé en permanence ».
Dès l’annonce de la création du centre de la porte de La Chapelle, il était clair que le dispositif n’était susceptible de fonctionner que pour autant qu’à l’issue des quelques nuitées de « mise à l’abri » offertes à Paris aux personnes migrantes ces dernières se voient proposer des places dans des lieux d’hébergement plus pérennes. Ces lieux relevant de dispositifs nationaux, le camp parisien ne peut « se vider » pour accueillir de nouveaux venus que si l’État s’engage dans l’opération, collaborant avec la Ville de Paris. Or les places en centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) continuent de manquer cruellement, et si de nouvelles structures d’accueil de migrants ont été créées récemment, elles ne parviennent pas à pallier l’incapacité de l’État à abriter, constante depuis deux décennies. Ces nouvelles structures ne sont d’ailleurs, tout comme le camp de La Chapelle, que des sas, conçus pour accueillir pour de courtes durées des personnes n’ayant pas encore décidé si elles allaient demander l’asile en France. Faire se succéder des sas à un sas n’a qu’un intérêt pratique : répartir la charge d’un premier accueil sommaire. Mais aussi, ce faisant, disperser, isoler et rendre moins visible.
En réalité, le camp de la Chapelle souffre de bien d’autres défauts que le manque de « fluidité » et la saturation dénoncée par les élus qui soutiennent la maire de Paris. En effet, les personnes qui parviennent, après des jours d’attente, à être accueillies dans la « bulle » parisienne, non seulement ne se voient pas assistées correctement dans leurs démarches en vue d’obtenir la protection internationale dont elles ont besoin, mais sont même empêchées de faire ces démarches. Contraintes de faire enregistrer leurs empreintes digitales à un guichet spécialement ouvert pour elles en préfecture, elles peuvent ainsi être menacées de renvoi – voire renvoyées sans délai – vers des pays par lesquels elles ont transité ou vers leur pays d’origine sans que soit examinée leur potentielle qualité de réfugié. Le camp parisien, loin d’être un lieu d’accueil et de manifester l’hospitalité de la Ville, fonctionne de fait comme un centre de tri, auxiliaire (ou otage ?) de l’administration préfectorale.
La maltraitance administrative qui règne à l’intérieur du centre de la Chapelle, tout comme la maltraitance physique imposée aux personnes qui, jour après jour, essaient d’en franchir les portes et sont, en attendant, contraintes de dormir dans la rue dans un contexte de harcèlement policier maintes fois documenté, ne sont en rien le produit d’un « afflux » insupportable d’exilé.e.s que la France, sixième puissance mondiale, ne pourrait gérer. Conséquences du sous-dimensionnement structurel du dispositif d’accueil des migrant.e.s, elle s’inscrivent dans une stratégie de dissuasion que la France, comme plus généralement l’Europe, opposent aux personnes en besoin de protection.
Oui, des lieux de premier accueil doivent être ouverts, afin que les exilé.e.s cessent d’être réduits à la vie dans la rue, à Paris comme à Calais, à Vintimille ou ailleurs. Mais ces lieux doivent être réellement hospitaliers, conçus de telle sorte que les personnes y soient informées des possibilités qui s’offrent à elles, aidées et accompagnées dans leurs premiers pas en Europe. Accueillies, vraiment. Ensuite seulement, une répartition sur l’ensemble du territoire pourrait être organisée selon la situation de chacun, ses souhaits, les possibilités existantes dans les collectivités. Si un « plan général d’accueil des migrants en France » est mis en place, c’est dans cet esprit qu’il doit être conçu, et non sur le modèle du centre de la Chapelle.
26 juin 2017
Organisations signataires :
Juin
20
(Alger/Paris/Rabat/Tunis, 20 juin 2017)
Le 20 juin est la journée internationale du réfugié. A cette occasion, nous, associations signataires, attirons l’attention de l’opinion publique – tant au Maghreb qu’en France et dans le monde – sur le drame humain qui se déroule dans le sud de la frontière algéro-marocaine, et ce, depuis le 17 avril 2017. En effet, des familles syriennes fuyant la guerre qui sévit dans leur patrie ont traversé plusieurs pays, avant de se retrouver bloquées en plein désert, sans eau, ni nourriture, ni abri.
Grâce à la solidarité des habitants de Figuig (ville marocaine frontalière), plusieurs familles ont été introduites et acheminées vers Oujda. Les autorités marocaines ont arrêté quelques-unes de ces familles et les ont renvoyées à la frontière au mépris de tout droit international de protection des réfugiés. Aujourd’hui, vint- huit réfugiés syriens, dont douze enfants et huit femmes, sont en plein désert.La militarisation des frontières algéro-marocaines entraîne de graves violations des droits humains. Depuis plusieurs années, les autorités de deux pays chassent les migrants subsahariens d’une frontière à l’autre. Et aujourd’hui, en flagrant délit d’atteinte aux droits des réfugiés et de la Convention internationale de Genève relative à la protection des réfugiés, elles bafouent le plus élémentaire des droits humains : celui d’accueillir des demandeurs d’asile fuyant la guerre dans leur pays.
Cette attitude illustre, dramatiquement, les conséquences de l’approche du tout-sécuritaire imposée aux peuples de la région, qui aspirent à un Maghreb des peuples ouvert, solidaire et démocratique.Face à cette situation, les associations et organisations signataires :– alertent l’opinion publique sur ce drame humain, qui se déroule près de Figuig, à la frontière algéro-marocaine ;– exigent des autorités marocaines et algériennes d’assurer la protection des réfugiés, de les accueillir dignement, et de leur garantir instamment l’acheminement des vivres et des soins ;– interpellent la France, l’Europe et les instances internationales (ONU et HCR…) pour une solution rapide dans le respect du droit, des conventions internationales et la dignité de ces hommes, femmes et enfants.Alger/Paris/Rabat/Tunis, le 20 juin 2017.Associations et organisations signataires :APEL-EgalitéAppel d’Avignon à la solidarité avec le peuple syrienAsbl Na’oura-BruxellesAssociation Alsace-SyrieAssemblée citoyenne des originaires de Turquie (ACORT)Association Clarté Ambition Courage-FranceAssociation de défense des droits de l’homme au Maroc (ASDHOM-France)Association démocratique des Tunisiens en France (ADTF)Association des familles des prisonniers et disparus sahraouis (AFAPREDESA)Association des Marocains en France (AMF)Association des parents et amis des disparus au Maroc (APADM)Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF)Association des Tunisiens de l’Isère citoyens des deux rives (ATI-CDR)Association des Tunisiens en France (ATF)Association interculturelle pour la laïcité, l’égalité et la solidarité avec les femmes du Maroc (AILES-femmes du Maroc)Association marocaine des droits humains (AMDH-Paris/Ile de France)Association Na’oura (Belgique)Association Promotion des Cultures et du Voyage (APCV)Association Syrie Démocratie 33Association TAMAYNUT-FranceAssociation TIDI-FranceCEDTIM-IPAMComité d’initiatives et de vigilance citoyenne d’Oran (CIVIC Oran)Collectif algérien en France ACDA (Agir pour le changement et la démocratie en Algérie)Collectif citoyen de soutien aux luttes sociales et démocratiques en Algérie (MASSIRA)Collectif des amis d’AlepCollectif Démocratie et Modernité-MarocCollectif des familles de disparus en AlgérieCollectif international pour défendre les victimes de la mafia immobilière et de la délimitation forestièreCollectif pour une Syrie libre et démocratiqueConseil des lycées d’Algérie (CLA)Comité pour le développement et le patrimoine-Palestine
Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Palestine (CRLDHP)
Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT)Coordination des organisations démocratiques marocaines de France pour la dignité, contre l’impunité et la hograCoordination maghrébine des organisations des droits humains (CMODH)
El Ghorba
EuroMed Droits
Fédération des Amis de Figuig (FAF)
Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR)
Fédération euro-méditerranéenne contre les disparitions forcées.Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH)
Femmes plurielles
Forum citoyen solidarité des Marocains en Europe
Forum des alternatives Maroc (FMAS)Forum marocain pour la Vérité et la Justice (FMVJ-France)
Forum Palestine CitoyennetéForum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES)Immigration Développement Démocratie (IDD)Ligue algérienne des droits de l’Homme (LADH)Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH)
Ligue des droits de l’Homme (LDH)Manifeste des libertés
Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP)Observatoire marocain des libertés publiquesParti communiste français (PCF)Parti d’avant-garde démocratique socialiste (PADS-Europe)
Parti socialiste unifié (PSU Maroc), section France
Plateforme euro-marocaine (MDCD)
Rassemblement Actions Jeunesse (RAJ)-AlgérieRassemblement Ifni-Aït Baarmrane
Réseau Euromed France
Revivre (association d’aide aux réfugiés syriens primo arrivants)
Sortir du colonialisme
SOS Disparus-AlgérieSouria Houria (Syrie libre)
Union des étudiants algériens en France (UEAF)
Voie démocratique-Paris (Annahj-Paris)