Association des Travailleurs Maghrébins de France
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Une sortie à la Cité de l’Immigration et de l’aquarium de la Porte Dorée

Le mardi 18 avril  2017, un groupe de femmes de l’ATMF de Gennevilliers a organisé une sortie à la Cité de l’Immigration et de l’aquarium de la Porte Dorée, dans le cadre des cours d’alpha.

Si les poissons ont suscité l’émerveillement des femmes, la curiosité de comprendre l’histoire de l’immigration et les étapes franchies, par les différents groupes humains qui constituent la société française actuelle, l’a emporté tout au long de la visite.

Avec un grand intérêt, les femmes présentes ont très vite fait le lien entre leur vécu et celui de ceux et celles qui les ont précédés, «le rejet vient de la méconnaissance  et la peur de l’autre ! », une phrase de Hayet (inscrite aux cours d’alpha), qui avec ses propres mots  a résumé la crispation et le racisme d’une société « creuset », que certains  persistent à nier, une société, en  somme, pas si différente des autres sociétés qui lorsqu’il y’a une crise rejette automatiquement le tort sur l’autre, l’étranger, celui venu d’ailleurs.

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Une rencontre -débat à l’occasion de la journée mondiale de la femme

L’ATMF de Gennevilliers a organisé une rencontre-débat, (à l’Espace des Grésillons de Gennevilliers), sur la situation de la femme arabe ici et ailleurs, le 18 mars 2017, à l’occasion de la journée mondiale de la femme 8 Mars.

Etait notamment présente à cette rencontre, Ghaiss Jasser, chercheuse Syro-Française, écrivaine et militante féministe.

Ghaiss Jasser a collaboré à un numéro des Nouvelles Questions Féministes avec Christine Délphy sur le thème de « La lutte des femmes pour l’égalité dans le monde arabe » .

Un moment convivial a été partagé avec des chants de femmes, du Maghreb et de Palestine.

Le groupe  » AL Quds », avec la chanteuse ABEER Hammad, a animé la soirée.

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SORTIR DE L’OMBRE, HISTOIRES, PAROLES ET PORTRAITS DE CHIBANIS

Vernissage de l’expo à la mémoires des chibanis. Projet réalisé  par le CCPG et ATMF Gennevilliers le 25 novembre 2016

 

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RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AUX DÉTENUS POLITIQUES

Le réseau ATMF était représenté le mercredi 03 Août 2016 au rassemblement de soutien aux détenus politiques de SIDI IFNI AIT-AAMRANE par des militants de l’ATMF Gennevilliers et de Moussem Barbes
Un nouveau procès s’ouvre ce jeudi 04 Aout au tribunal de Tiznit.
8 jeunes  et militants sont poursuivis suite aux événements du 25 Juillet dernier qu’a connu la ville de Sidi Ifni Ait-Baamrane. Ils sont victimes de l’acharnement du pouvoir à l’encontre d’une population marginalisée appauvrie, martyrisée…, mais combattante et digne.
Au fil des années, la population de Sidi Ifni Ait-Baamrane, n’a pas cessé de réclamer pacifiquement son Droit à bénéficier des richesses locales (notamment maritimes), une vraie politique de développement qui mettrait un terme à la marginalisation et au chômage massif dont sont victimes les jeunes, les diplômés ….
Le 25 juillet 2016, et après avoir essayé par tous les moyens de se faire entendre et valoir leurs Droits par les autorités marocaines et espagnoles, 8 jeunes militants et activistes ont procédé à l’occupation de l’ancien consulat espagnol dans la ville de Sidi Ifni pour demander l’activation de l’accord de Fès signé entre le Maroc et l’Espagne en 1969.
En réponse à leur mouvement pacifique les autorités marocaines ont procédé à l’arrestation de tous les jeunes participant au mouvement afin de les traduire au tribunal de Tiznit avec des accusations montées de toutes pièces.
Nous regrettons que les détenus politiques soient obligés d’avoir recours à la grève de la faim pour tenter de faire entendre leurs revendications légitimes aux autorités marocaines.
Nous tenons l’Etat Marocain pour responsable des dangers qu’ils encourent.
Les associations soussignées restent préoccupées par le sort réservé à ce groupe de jeunes détenus, et au détenu du mouvement amazigh Abderrahim Idoussalah, arrêté pour ses opinions et ses idées. Ces associations expriment leur solidarité avec les détenus politiques et la population de la région de Sidi Ifni Ait-Baamrane  et exigent :
La libération inconditionnelle des détenus politiques de Sidi Ifni et tous les détenus du mouvement Amazigh au Maroc.
La satisfaction des revendications légitimes de la population de Sidi Ifni Ait-Baamrane .
L’activation de l’accord de Fès de 1969 entre le Maroc et l’Espagne et le respect des Droits historiques de la population de Sidi Ifni Ait Baamrane.
Faire bénéficier la population des richesses locales
Premières associations signataires : ATMF, ASDHOM, AMF, RIAS, TAMAYNUT FRANCE, ACAL, TIDI, TIWIZI TANGARFA, LECIVIM…
                                                                                               Paris le 2 Août 2016

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Manifestation pour la dignité des CHIBANIS

Manifestation de solidarité avec les chibanis des foyers de Gennevilliers et d’Asnières

 

 

 

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Discrimination multicritère : Cas des femmes immigrées maghrébines

Dans le cadre de la Journée Internationale de la femme, l’Association des Travailleurs Maghrébins de France à Gennevilliers organise une table ronde :

 » Discrimination multicritère : Cas des femmes immigrées maghrébines « 

Le samedi 9 mars 2013 à 14h
A l’Espace des Grésillons
30/40, rue François-Kovac
92230 Gennevilliers

Avec la participation de :

– Maître Aïcha Ansar-Rachidi : avocate au barreau de Paris.

– Pr. Zeineb Touati : sociologue et enseignante à l’IUT du Havre.

– Pr. Catherine Delcroix : directrice du CERIS (centre d’études et de
recherches sur l’intervention sociale) de Strasbourg.

– Fouzia Maqsoud : militante de l’immigration.

Suivi d’une soirée festive avec la troupe  » Tighri Uzar  »

En partenariat avec les associations de Gennevillers Plein grés, Femmes Relais et l’Escale.

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Contact :

ATMF Gennevilliers – 26 bis rue Dupressoir – 92230 Gennevilliers
Tel : 01.47.91.32.22 – 06.03.71.07.88 – atmfgennevilliers@ymail.com – www.facebook.com/atmf.gennevilliers

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L’Atmf Gennevilliers rend hommage à Mohamed EL AYOUBI alias LARBI TOSS

Chers(es) amis(es) et camarades,

En ces temps d’individualisme et de repli sur soi, il importe de rendre hommage à l’action collective. Et pour ce qui nous concerne à notre association : l’ATMF, aux femmes et aux hommes qui la font dans le quotidien.

Mais rendre hommage à l’ATMF, c’est d’abord rendre hommage à ses militants fondateurs qui avaient pris beaucoup de risques pour nous léguer cet instrument fabuleux.

Le 18 janvier prochain et à l’occasion du 30ème anniversaire de l’ATMF, nous vous invitons donc à rendre hommage à l’un de ces « vieux » militants : notre camarade El AYOUBI MOHAMED Alias LARBI TOSS.

Inutile de vous rappeler son passé militant, ce sera fait le soir même.
Rappelons tout simplement qu’il ‘était l’un des tous premiers militants ouvriers à participer à la création de l’ATMF. Et l’un des tous premiers à inscrire son nom dans les hauts faits de la lutte de la classe ouvrière de France…

Ce sera une soirée d’abord festive, avec repas convivial et musique appropriée. Des camarades anciens et actuels feront des interventions pour nous rappeler aussi bien l’historique des luttes des travailleurs immigrés (Chausson, Talbot, Renault, Peugeot-Citroën les Mines du Nord, etc.). D’autres nous raconteront des anecdotes simples et significatives sur la manière dont les militants de l’époque faisaient face à la situation difficile de leurs compatriotes ici et au Maroc.

Comptant sur votre présence, recevez, Chers(es) amis(es) et camarades, nos meilleurs salutations et vous prions de bien vouloir nous confirmer votre présence par mail au : atmfgennevilliers@ymail.com ou tél : 01.47.91.32.22

– MOUBINE Abdallah « Président »: 06.14.14.07.28
– LAAYARI Saïd «Coordinateur » : 06.03.71.07.88

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Hommage à Mohamed EL AYOUBI

Vendredi 18 janvier 2013 à 18h30 Salle Gallieni 48-50, avenue Louis-Roche 92230 Gennevilliers

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Agrandir le plan

Itinéraire en voiture vers 50 Avenue Louis Roche, 92230 Gennevilliers 3D2D – Gabriel Péri 92600 Asnières-sur-Seine

1. Prendre la direction sud-est sur D19 – 400 m

2. Continuer sur D911 – 290 m

3. Prendre à gauche sur Quai du Docteur Dervaux/D7 – Continuer de suivre D7 – 700 m

4. Prendre légèrement à droite sur Quai Aulagnier/D7 – 1,3 km

5. Prendre légèrement à droite sur Quai des Gresillons (panneaux vers D7/Gennevilliers-Centre/Saint-Ouen/Porte de Saint-Ouen) – 350 m

6. Prendre à gauche sur Av. Louis Roche/D20 – Votre destination se trouvera sur la droite – 450 m – 50 Avenue Louis Roche 92230 Gennevilliers

En bus : prendre le 177 de la station de métro Gabriel Péri.

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Liberté pour les prisonniers palestiniens !

APRES SALAH HAMOURI, EXIGEONS LA LIBERATION DE MARWAN BARGHOUTI ET DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES QUI LUTTENT POUR LA LIBERATION DE LA PALESTINE

A la suite de son arrestation en Palestine en mars 2005, notre compatriote Salah Hamouri, a passé
7 ans en prison, jugé et condamné sans preuves ni aveux par un tribunal militaire israélien et sans que sa défense puisse être assurée selon les règles fondamentales du droit de la défense. Son arrestation, comme sa condamnation et son emprisonnement, étaient illégaux au regard du droit international car réalisés en territoire occupé par une puissance occupante. Le président Nicolas Sarkozy a toujours refusé de recevoir la famille de Salah et le Gouvernement français n’a rien fait pour sa libération, alors qu’il s’est démené pour le soldat franco-israélien, Guilad Shalit, caporal dans l’armée israélienne capturé au cours d’une opération militaire contre Gaza.
Il y a donc deux poids-deux mesures selon les origines des uns ou des autres, et selon que l’on appartienne à l’armée israélienne ou à la population palestinienne sous occupation.

Un fort mouvement de solidarité s’est levé pour soutenir Salah et obtenir sa libération. Aujourd’hui Salah est libre, après avoir purgé l’intégralité de sa peine mais le combat continue pour la Libération des Prisonniers Politiques, qui luttent contre l’occupation et la colonisation.

Depuis 1967, plus de 700 000 Palestiniens dont 10 000 femmes ont été arrêtés et détenus
dans des prisons en Israël, en vertu d’ordonnances militaires israéliennes.
Ce chiffre représente plus de 25 % de la population de la Cisjordanie et de Gaza.

L’accord conclu entre le Hamas et le gouvernement israélien a permis, la libération en deux étapes
de 1027 prisonniers contre celle de Guilad Shalit. 477 prisonniers ont été libérés le 18 octobre 2011
et 550 autres le 18 décembre 2011.
Il s’agit là d’une victoire politique sans précédent de la Résistance palestinienne à un moment
où tous les regards sont tournés vers l’ONU à la suite la demande de l’Autorité Palestinienne
pour que la Palestine soit reconnue comme Etat souverain.
Mais 5000 prisonniers palestiniens – hommes, femmes et enfants – restent encore détenus
de façon tout à fait illégale dans les prisons israéliennes

Plus de 138 enfants âgés de moins de 18 ans en plus des cen­taines d’autres qui sont devenus des adultes depuis leur arrestation

10 femmes prisonnières sont encore détenues dans les prisons israéliennes de «  Hasharon », dans des conditions d’hygiène effroyables sans aucun respect pour leur spécificité en tant que femmes. Souvent agressées et humiliées par leurs gardiens lors d’attaques de nuits contre leurs cellules.

310 prisonniers le sont en détention administrative, procédure qui permet d’incarcérer sans inculpation ni jugement pour des périodes de six mois renouvelables indéfiniment.

Sont également emprisonnés 27 par­le­men­taires et élus dont Marwan BARGHOUTI
Leurs conditions de détention ont été aggravées par la loi dite « Shalit »

Ces Palestiniens, détenus dans des prisons israéliennes en violation du Droit international,
le sont dans le cadre de l’occupation de leur pays, la Palestine, par Israël.

Les délits poursuivis devant les tribunaux militaires comprennent presque toutes les formes d’expression ou d’association civiques et politiques.
Toute participation à des manifestations contre le Mur est motif à arrestation et condamnation

Le Droit international stipule qu’il est illégal de détenir un citoyen du territoire occupé sur le territoire
de la puissance occupante, tout comme il interdit à l’occupant d’apporter des modifications sur
le territoire occupé, sauf pour le bien-être de la population.
Les conditions, d’arrestation et de détention, sont les mêmes, en violation quotidienne du droit humanitaire
et des droits humains :
les humiliations lors des fouilles notamment, les coups, les mauvais traitements, voire les tortures physiques et mentales sont des pratiques régulières. De même les punitions collectives, la mise à l’isolement et les mesures répres­sives.
Les femmes sont souvent mises dans des cellules avec des prisonnières israéliennes de droit commun qui les brutalisent
les conditions d’hygiène et sanitaires sont déplorables, les cellules insalubres. L’accès aux soins médicaux est réduit et la vie des prisonniers malades est en danger. La négligence médicale préméditée et organisée, fait partie de la politique répressive israélienne contre les prisonniers palestiniens et cela en dépit des lois et des conventions
La quasi-totalité des centres de détention des prisonniers palestiniens sont situés à l’intérieur d’Israël et la seule prison située dans les frontières de 1967 de la Cisjordanie, Ofer, se trouve dans une base militaire israélienne située du côté israélien du Mur et donc également inaccessible aux Palestiniens de Cisjordanie.
Les détenu/e/s sont privé/e/s de visites, y compris de leurs avocats ; les familles sont souvent sans nouvelles et ignorent parfois où sont détenus les leurs, régulièrement déplacés d’une prison à l’autre. Sans oublier les 459 prisonniers de la bande de Gaza, qui sont privés de visite familiale depuis 2007.
Les enfants peuvent être arrêtés dès l’âge de 12 ans. Ils sont condamnés de six mois à un an de prison pour jet de pierres, considéré comme « offense criminelle et atteinte à la sécurité », mais cela peut être beaucoup plus. Ils subissent directement la violence de l’incarcération. Ils sont exploités (obligation de travailler) et opprimés de façon inhumaine (humiliation et torture), ce qui constitue une violation des lois et des traités internationaux qui interdisent la détention des enfants. Certains partagent la cellule de détenus israéliens de droit commun, ce qui est également interdit par la Convention des droits de l’enfant
Régulièrement des cen­taines de pri­son­niers pales­ti­niens mènent des grèves de la faim pour protester contre leurs conditions de détention et pour le respect de leurs droits
DES SANCTIONS POLITIQUES,  DIPLOMATIQUES ET ECONOMIQUES
DOIVENT ETRE PRISES, TANT QUE LES DROITS HUMAINS, HUMANITAIRES
ET LE DROIT INTERNATIONAL SERONT BAFOUES PAR LE GOUVERNEMENT ISRAELIEN

COLLECTIF GENNEVILLOIS POUR LA PALESTINE :
ATMF, ATTAC 92, CGT, Comité France Palestine, FASE, Gennevilliers pour Tous, NPA, PCF