Association des Travailleurs Maghrébins de France
10 rue Affre - 75018 Paris
01 42 55 91 82 national@atmf.org

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TOUCHER AU DROIT DES ETRANGER-E-S, C’EST TOUCHER AU DROIT DE TOUTES ET TOUS !

REUNION PUBLIQUE D’INFORMATION ET DE FORMATION
POUR PREPARER UNE MOBILISATION NATIONALE DE GRANDE AMPLEUR

SAMEDI 28 JANVIER 2006
DE 13 H A 17 H A LA BOURSE DU TRAVAIL
(85 rue Charlot – 75003 Paris)

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ATMF Gennevilliers : Projection de film « l’enfant endormi »

Soirée rencontre
En présence de la cinéaste (sous réserves)
et en collaboration avec ATTAC 92, l’A.T.M.F,
« Elles ouvrent la porte », « La Maison des femmes de Gennevilliers»

« L’ENFANT ENDORMI » de Yasmine Kassari
Au Nord-Est du Maroc contemporain, une jeune mariée, Zeinab, voit son époux quitter le pays pour la clandestinité le lendemain de ses noces. Zeinab est enceinte. Dans l’attente du retour de son mari, elle fait endormir son fœtus. Le temps passe, le mari ne revient pas.

Le vendredi 27 JANVIER à 20h15

Au cinéma Jean Vigo
1 rue Pierre et Marie Curie
92230 Gennevilliers

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Concert de soutien aux internautes de Zarzis

« Sous le soleil, exactement ! »
Mélodies contre l’Oubli
seconde édition

Concert de Soutien aux
« Internautes de Zarzis »

Vendredi 17 Février 2006
20h00
ouverture des portes : 19h00
Bourse du Travail de Saint-Denis
M° Saint-Denis-Porte de Paris
(Ligne 13)

Participation aux frais 5€

Les « internautes de Zarzis », ce sont un enseignant et cinq jeunes de 20 ans qui menaient une vie sans histoires dans cette petite ville du sud tunisien, jusqu’à leur arrestation en février 2003. Condamnés à 13 ans de prison, ils vivent un enfer après avoir été torturés pendant des interrogatoires de police. Pourquoi ? Pour avoir surfé sur internet.


Pour plus d’info
: http://www.zarzis.org
contact mail : contact@zarzis.org – tél (Teresa) : 06 18 81 93 21

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Déclaration du Collecif pour la liberté de la presse en Algérie

Déclaration

Dix-huit journalistes algériens, exerçant tous dans la presse indépendante, condamnés en première instance à des peines allant de deux à douze mois de prison ferme, risquent d’aller en prison en ce début d’année 2006. La menace de voir ces peines confirmées est malheureusement réelle. Dans la situation actuelle caractérisée par une privatisation du fonctionnement des pouvoirs, rien ne laisse espérer de la justice qu’elle agisse dans la sérénité et l’indépendance aux procès en appel fixés dans les prochaines semaines.
Si la justice ne se ressaisissait pas en cessant de jouer le rôle d’instrument de revanche du pouvoir politique irrité par l’indocilité de la presse indépendante, cette cascade de procès impitoyables et sans précédent placerait l’Algérie en tête du sinistre hit-parade des pays attentant à la liberté de la presse et, à travers elle, à toutes les libertés démocratiques.

Cette remise en cause de la liberté de la presse, pour partielle qu’elle soit, obtenue au prix fort du sacrifice de près de 120 journalistes, a commencé par l’arrestation de Mohamed Benchicou qui entame son vingtième mois de prison. Malade et privé des soins nécessaires, il a été extrait plus de 34 fois de sa cellule pour être présenté devant le tribunal et répondre de nouvelles plaintes pour délit de presse.

Depuis l’emprisonnement du Directeur du Matin, la situation de la liberté d’expression et de la presse en Algérie n’a fait que se dégrader. Outre les dix-huit condamnations à des peines de prison ferme recensées en 2005, un récent bilan dénombre des dizaines de journalistes sanctionnés par des peines de prison avec sursis. Il révèle aussi les cas des correspondants locaux livrés, dans le silence, à une justice expéditive ; les sociétés éditrices croulant sous des amendes astronomiques, acculées à la faillite en raison du chantage à l’impression, à la publicité ; les menaces de suspension planant sur des publications.

Quant à l’affaire Benchicou, par son exemplarité et la brutalité des méthodes utilisées, elle aura été pour l’opinion nationale et internationale le révélateur des velléités liberticides inscrites dans la réforme du code pénal de 2001. Aujourd’hui, en dépit de tous les brouillages opérés autour de son procès, des instances internationales reconnues (ONG, Parlement Européen, FIJ, etc) considèrent le journaliste Mohamed Benchicou comme un prisonnier d’opinion. Elles n’ont cessé de dénoncer avec nous son emprisonnement, ainsi que les dispositions de ce Code pénal, qui entravent l’exercice de la profession de journaliste en Algérie.

Dans les prochaines semaines, les verdicts des procès en appel vont être rendus. Le collectif pour la liberté de la presse en Algérie réitère son appel en direction des élus et responsables politiques entretenant des relations avec le pouvoir algérien à travers divers accords économiques au niveau national et européen, ainsi qu’à l’opinion nationale et internationale afin d’agir immédiatement :

· Pour la libération immédiate et inconditionnelle de Mohamed Benchicou.
· Pour la levée de tous les interdits qui frappent le journal le Matin depuis le 24 juillet 2004.
· Pour la relaxe de tous les journalistes condamnés à la prison pour délit de presse.
· Pour la dépénalisation des délits de presse
· Pour le respect des conventions internationales ratifiées par l’Algérie

Paris, le 16 janvier 2006

Le collectif pour la liberté de la presse en Algérie
Portable: 06 78 13 84 79 de l’etranger 00 33 6 78 13 84 79
-Envoyez vos messages de soutien à librepresse_algerie@yahoo.fr
-Visitez notre site www.libererbenchicou.com
-Retrouvez les chroniques de Mohamed Benchicou www.ziane-online.com

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Rencontre pour les libertés en Tunisie

vendredi 16 décembre 2005 à partir de 18h00
A la bourse de travail de saint-denis

9-11 rue Génin – Saint Denis

Métro Saint Denis – Porte de Paris (ligne 13)


Plus d’infos

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Rencontre pour les libertés en Tunisie

Dans le cadre des échanges autour du mouvement du 18 octobre et ses conséquences en faveur de la lutte pour les droits et les libertés en Tunisie, nous vous invitons à nous rejoindre pour exprimer ensemble notre rejet de la dictature en Tunisie et apporter notre soutien à la lutte du peuple tunisien pour ses droits, sa liberté et sa dignité.

* Pour la liberté d’expression et d’information

* Pour la liberté d’organisation politique et associative

* Pour la libération de tous les prisonniers politiques et la promulgation d’une loi d’amnistie générale

Rencontre
vendredi 16 décembre 2005 à partir de 18h00
A la bourse de travail de saint-denis
9-11 rue Génin – Saint Denis
Métro Saint Denis – Porte de Paris

En présence de personnalités politiques et associatives qui ont participé à la grève de la faim du 18 octobre :

* Ahmed Néjib Chebbi, secrétaire général du parti démocratique progressiste (PDP)

* Hamma Hammami, porte parole du parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT)

* Abderraouf Ayadi, vice-président du congrès pour la République (CPR)

* Lotfi Haji, président du syndicat des journalistes tunisiens (SJT)

* Samir Dilou, responsable des relations extérieures de l’association internationale de soutien au prisonniers politiques (AISPP)

* Ayachi Hammami, porte parole du comité de soutien à Me Mohamed Abbou

Et de personnalités indépendantes et dirigeants de partis d’opposition et d’associations :

* Radhia Nasraoui, présidente de l’association de lutte contre la torture en Tunisie (ALTT)

* Sihem Ben Sedrine, porte parole du conseil national pour les libertés (CNLT)

* Naziha Rjiba (Oum Ziad), présidente de l’observatoire national de la liberté d’édition et d’expression

* Sana Ben Achour, universitaire et coordinatrice du comité national de soutien de la grève de la faim du 18 octobre

* Abdessatar Ben Moussa, bâtonnier de l’ordre des avocats tunisiens

* Khémaïs Chammari, membre du collectif 18 octobre pour les droits et les libertés

* Mustapha Ben Jâafar, secrétaire général du forum démocratique pour le travail et les libertés (FDTL)

* Béchir Essid, porte parole des unionistes Nassériens et ancien bâtonnier de l’ordre des avocats tunisiens

* Iyâdh Ben Achour, professeur de Droit à l’université de Tunis

* Chawki Tabib, membre du conseil de l’ordre des avocats et avocat de l’association des magistrats tunisiens

* Mohamed Jmour, membre du conseil de l’ordre des avocats et porte parole du parti du travail patriote et démocratique (PTPD)

A l’appel de :

Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT), Fédération des tunisiens citoyens des deux rives (FTCR), Voix libre, Solidarité tunisienne, Union des travailleurs immigrés tunisiens – PIDF (UTIT-PIDF), Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), Union générale des étudiants de Tunisie – France (UGET-France), Conseil national pour les libertés (CNLT), comité des enfants et proches des prisonniers politiques, Fédération internationale des ligues de droit de l’homme (FIDH), Syndicat de la magistrature (SM), Ligue des droits de l’homme (LDH), comité de soutien aux internautes de Zarzis, l’Observatoire des libertés fondamentales en Tunisie Lyon-France.

Avec le soutien de :
Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT), Mouvement Ennahdha, Forum démocratique pour le travail et les libertés (FDTL), Les unionistes Nassériens, Parti du congrès pour la République (CPR), Les verts, Parti communiste français (PCF), Parti socialiste (PS), Ligue communiste révolutionnaire (LCR).

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TUNISIE – La légitimité du Sommet des Nations unies est remise en cause par les manœuvres de harcèlement du gouvernement

19 novembre 2005

Amnesty internationale : DÉCLARATION PUBLIQUE

Alors que les délégués du Sommet mondial des Nations unies sur la société de l’information ont signé l’Engagement de Tunis dans lequel ils réaffirment leur soutien aux droits humains, Amnesty International a déclaré que d’importantes leçons devaient être tirées du non-respect de ces mêmes droits par le gouvernement hôte avant et pendant le Sommet, qui s’est tenu à Tunis du 16 au 18 novembre 2005. L’organisation a affirmé que la légitimité même de ce Sommet et de son aboutissement avaient été remise en question par l’ingérence des autorités tunisiennes, et qu’aucun sommet organisé par les Nations unies ne devrait jamais plus se dérouler dans de telles conditions d’oppression.

Des défenseurs des droits humains et des militants de la société civile ont été soumis à une surveillance et des manœuvres d’intimidation de la police visant à les empêcher d’exprimer librement leurs points de vue et de participer pleinement au Sommet. Plusieurs militants tunisiens en faveur des droits humains et des journalistes étrangers ont été physiquement agressés par des policiers en dehors de la conférence, alors qu’ils menaient leurs activités légitimes.

L’accès aux sites internet d’organisations de défense des droits humains qui avaient publié des rapports critiques à l’égard de la Tunisie a été bloqué en-dehors du site de la conférence. Les groupes tunisiens les plus indépendants de défense des droits humains n’ont pas pu participer au Sommet en raison du refus persistant des autorités de leur accorder un statut au regard de la loi.

Un sommet parallèle organisé par des groupes de la société civile n’a pas pu avoir lieu, la réservation du site où il devait se tenir, qui avait été faite à l’avance, ayant été annulée à la dernière minute, à l’initiative, semble-t-il, des autorités tunisiennes. Des policiers en civil ont perturbé les activités de la société civile en empêchant l’accès aux bureaux d’organisations de défense des droits humains et aux sites où devaient se dérouler des événements parallèles planifiés par des organisations non gouvernementales.

Amnesty International craint vivement qu’une fois que les feux de l’actualité se seront détournés de la Tunisie, les défenseurs des droits humains dans le pays ne soient harcelés et persécutés par les autorités en représailles pour avoir parlé pendant le Sommet des atteintes aux droits humains en Tunisie.

Compte tenu de ces inquiétude et pour que plus jamais un sommet parrainé par les Nations unies ne se déroule dans ces conditions, Amnesty International fait les demandes suivantes :

Au gouvernement tunisien :

d’enquêter sans délai et de manière exhaustive et impartiale sur les agressions physiques à l’encontre de défenseurs des droits humains et de journalistes étrangers qui ont eu lieu en marge du Sommet, et de déférer à la justice toute personne soupçonnée d’avoir commandité ou commis de telles agressions ;

de prendre immédiatement des mesures pour garantir le droit à la liberté d’expression et d’association et protéger les défenseurs des droits humains en Tunisie, en accord avec ses obligations aux termes du droit international ;

d’inviter sans délai les spécialistes des droits humains aux Nations unies qui ont demandé à se rendre dans le pays, tels que le représentant spécial du secrétaire général sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, le rapporteur spécial sur l’indépendance des juges et des avocats et le rapporteur spécial sur la torture.

Aux Nations unies :

d’ouvrir une enquête sur les nombreuses restrictions imposées aux militants de la société civile avant et pendant le Sommet et d’en rendre publics les résultats, en vue de garantir la pleine participation et protection des militants de la société civile lors des prochains sommets de ce type.

Aux gouvernements étrangers :

de soutenir les défenseurs des droits fondamentaux en Tunisie et de faire du respect des droits humains et des libertés fondamentales un élément central de leur coopération avec la Tunisie.

À l’Union européenne

de bien montrer au gouvernement tunisien, au plus haut niveau, qu’il a l’obligation de protéger efficacement les défenseurs des droits humains et de soutenir leurs efforts en vue de créer et développer des organisations indépendantes de défense des droits humains, en accord avec les Orientations de l’Union européenne concernant les défenseurs des droits de l’homme ;

de mettre en place un processus transparent et efficace dans le cadre de l’accord d’association de l’Union européenne avec la Tunisie pour faciliter la surveillance permanente et l’examen régulier des tendances et événements en matière de droits humains en Tunisie, et de prendre des véritables mesures d’assistance à la promotion et protection des droits humains en Tunisie.

Source – http://www.amnestyinternational.be/doc/article.php3?id_article=6395 –

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ATMF Aix

Samedi 10 décembre au grand marché de la ZAC de 10h à 12h
Et au cours Mirabeau de 15 à 17h

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Trait d’Union

le samedi 10 décembre de 11H à 18H à Caen, place le République et au local de Trait d’Union, 403 le Val 14200 Hérouville St-Clair de 11H à 19H

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ATMF de Dijon

Vendredi 9 décembre au marché de 09h à 11h