Revalorisation a minima des prestations versées aux anciens combattants étrangers Encore un faux semblant
=http://www.atmf.org/spip.php?article800
Sep
28
=http://www.atmf.org/spip.php?article800
Sep
27
Mercredi 27 septembre 2006 à 20h30 au CAC de Saint-Avold
un film documentaire de Yamina Benguigui, qui sera suivi d’une conférence-débat animée par l’ATMF sur le thème des discriminations.
Une deuxième projection de ce film aura lieu :
jeudi 28 septembre à 20h30 au CAC de SAINT-AVOLD
Pour tout contact :
ATMF, Maison des Associations, Quartier Lahitolle – 57500 – Saint-Avold
Sep
27
AKTIV pour le Liban organise
Proche-Orient : Quelles RésistanceS ?
Mercredi 27/09/2006 de 19h à 23h
Au CICP (centre international culture populaire) 21 ter Rue Voltaire, 75011 Paris, Métro Nation.
Débat politique de 19h30 à 21h.
Avec les intervenants :
Nahla Chahal (liban – CCIPPP)
Michèle Sibony (Union Juive Française pour la Paix)
Omar Soumi (Etudiant Palestinien – GUPS)
Bahjat Hamad (liban)
Repas libanais
Concert avec :
21h30 Sehnaoui/ Rives duo, musique improvisée libre(Liban/France)
22h Abakuya/ Polyphonies d’Afrique Centrale (Caméroun)
22h30 Jazz Trio/ Alexandra Grimal(Sax), Pierre
Perchaud(Guitare) , Mathieu Calleja(Batterie)/ France
Tous les bénéfices de la soirée seront versés aux ONG libanaises
Croix-rouge libanaise (www.croix-rouge.fr)
Samidoun (www.samidoun.org.fr)
Offre Joie (http://offrejoie.blogspot.com)
Mouvement Social (www.mouvementsocial.org)
ENTREE GRATUITE
CICP (centre international culture populaire)
21ter Rue Voltaire, 75011Paris
www.cicp21ter.org
Sep
26
=http://www.atmf.org/spip.php?article799
Sep
13
Mercredi 13 septembre 2006 à 14h à la Maison des Cultures et Frontières de Freyming Merlebach
TENJA, un film d’Hassan Legzouli
Avec Roschdy Zem, Aure Atika, Abdou El Mesnaoui
Sortie en février 2005. Durée : 1h 20min
Le film sera suivi d’un conférence-débat animé par L’Association des mineurs et des anciens Mineurs Marocains du Nord/Pas de Calais (A.M.M.N.).
Sep
12
=http://www.atmf.org/spip.php?article789
Sep
1
Pour une 3ème journée d’action sur les migrations le 7 Octobre 2006, dans toute l’Europe et ailleurs
« Au nom de la lutte contre l’immigration clandestine, les gouvernements mettent en oeuvre une politique de répression et d’externalisation aux frontières des pays riches, à travers des camps, des refoulements, des expulsions, et la sélection de la force de travail. » (extrait de l’Appel de Bamako (Mali) pour le respect et la dignité des migrants, adopté lors du Forum Social Mondial Polycentrique de janvier 2006)
Les politiques migratoires européennes transforment les migrants en « illégaux ». L’« externalisation », l’une des principales mesures de l’Union européenne contre les mouvements et les luttes des migrations, installe hors d’Europe, en Afrique et en Europe de l’Est, des camps et d’autres instruments de contrôle des migrations.
Lorsqu’en octobre 2005 des milliers de migrants et de réfugiés ont ensemble pris d’assaut les enceintes des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, ils ont rendu à cet instant visibles pour l’opinion publique les revendications fondamentales de liberté de circulation et d’égalité des droits.
Les réactions inhumaines et barbares, tirs mortels et expulsions de masse vers le désert, ont révélé le degré croissant de conflit et la crise des politiques migratoires européennes.
Ces politiques sont pourtant en permanence défiées, de « l’extérieur » comme de l’intérieur des frontières. A travers toute l’Europe se déroulent tous les jours des luttes sociales et politiques, des manifestations et des campagnes contre les camps et les expulsions, pour le droit d’asile, pour la régularisation, pour des droits et une citoyenneté européens fondés sur la résidence et non la nationalité, et contre l’exploitation des travailleurs migrants. Ces luttes dépassent largement une conception étroite de l’identité européenne.
Ce nouvel appel collectif pour une journée d’action fait suite aux mobilisations du 31 janvier 2004 et du 2 avril 2005, première et seconde journées d’action sur les migrations dans plus de 50 villes d’Europe. Au Forum Social Européen d’Athènes de mai 2006, les migrations ont pour la première fois été un axe thématique à part entière. Un large réseau d’initiatives liées aux migrations a décidé, lors de l’assemblée finale du FSE, d’aller plus loin et de coordonner des actions le 7 octobre 2006.
Tout en tenant compte des conditions spécifiques des différentes luttes sur le plan régional et national, cette journée d’action vise à construire la résistance à l’échelle européenne, voire transcontinentale. Notre mobilisation sera un premier pas vers des activés centralisées au niveau européen, dans l’idée d’une manifestation commune en 2007, à Bruxelles ou tout autre lieu de même importance. Nous voulons considérer l’Europe comme un tout, et non comme une somme de gouvernements nationaux.
La date d’octobre a été choisie en mémoire des événements de Ceuta et Melilla de 2005. Nous voulons construire une coopération avec les initiatives africaines. Un jour d’action simultané dans les villes d’Afrique et d’Europe contribuerait à la construction d’un axe sur les migrations au prochain Forum Social Mondial qui aura lieu à Nairobi (Kenya) en janvier 2007, suivant en celà l’appel de Bamako déjà cité : « De Bamako à Nairobi, nous proposons une année de mobilisation internationale pour le droit de toute personne à circuler librement dans le monde et à décider de son propre avenir (….) Enfin, nous proposons une journée mondiale de mobilisation qui pourrait se tenir dans les lieux symboles des frontières (aéroports, camps de détention, ambassades, etc. »
Nous voulons insister sur la dimension globale des luttes de migrants actuelles. Nous voulons lier notre journée d’action aux futures initiatives et mobilisations de masse des mouvements de migrants américains.
La 3ème journée d’action sera dirigée contre le déni des droits, contre la criminalisation des migrants et contre tous les contrôles des migrations, et portera des revendications précises dans le cadre de la liberté de circulation et d’établissement :
Pour la régularisation sans condition de tous les sans papiers en Europe et pour l’égalité des droits des migrants
Pour la fermeture de tous les centres de détention pour étrangers en Europe et ailleurs
Pour l’arrêt de toutes les expulsions et du processus d’externalisation
Pour déconnecter le permis de séjour du contrat de travail, et contre la « précarité ».
Pour signatures associatives
Sep
1
Rédigé il y a un peu plus de quatre mois, en avril 2006, le texte qui suit devait être présenté à la « Conférence arabo-internationale de solidarité avec le droit au retour des réfugiés palestiniens et le droit du peuple palestinien de disposer de lui-même » qui devait se tenir à Beyrouth les 15 et 16 mai 2006. Mais fin avril 2006, les organisateurs de la Conférence ont décidé, pour de multiples raisons, de la renvoyer à une date ultérieure.
Plus d’un mois après la criminelle et barbare agression sioniste contre les peuples libanais et palestinien, ce texte, ayant gardé toute son actualité, mérite, je crois, d’être diffusé.
C’est ce que je fais aujourd’hui pour réaffirmer une fois de plus que la véritable paix, la tranquillité, la sécurité, la liberté, l’égalité et la justice ne prendront leur place naturelle et légitime dans ce Moyen-Orient agressé, spolié, dominé et occupé par des étrangers, que lorsque la Palestine, de la frontière libano-palestinienne à Eliath sur la Mer Rouge, de Haïfa à Jérusalem, de Tel-Aviv à Jéricho et de Naplouse à Gaza, sera complètement libérée, que lorsque tous les Palestiniens et tous ceux réfugiés dans de nombreux pays du monde, reprendront complètement et totalement possession de tous leurs anciens logements, cimetières, terres, biens divers et administrations publiques.
Je ne peux m’empêcher, pour terminer ces quelques lignes d’exprimer une fois de plus ma profonde conviction que, dans un ou dix ou cinquante ans, la Palestine sera complètement libérée et complètement débarrassée de ceux qui lui ont fait tellement de mal.
Et si cette conviction s’avérait être une utopie, je préfère mourir avec tout en rêvant.
G.A. / Tunis – août 2006
Août
30
La violence et les centaines de CRS et de gardes mobiles engagés n’ont pas suffi à briser la résistance des expulséEs et de leur soutien, pour ne pas être éparpillés.. Ils ont alors obtenu leur hébergement provisoire dans un gymnase mis à disposition par la mairie de Cachan ce qui leur permet de continuer à lutter ensemble .
La détermination et le courage des mères de familles ont été décisifs : elles connaissent déjà la précarité, l’exiguïté et l’éloignement, voire l’insalubrité des « hôtels » proposés. De plus il a été rapporté que des expulsés ayant accepté « l’hôtel » ont été interpellés par la police. Plusieurs dizaines d’entre eux sont enfermés, menacés d’expulsion, de prison.
Avec les expulsés, le Comité de soutien composé de personnalités, d’élus, d’associations, d’organisations syndicales, politiques et de citoyens. exigent du Préfet et du gouvernement :
La libération des expulsés interpellés,
le relogement décent et durable de tous les expulsés et dans l’attente la réquisition de logements vacants.
La régularisation des sans-papiers.
Le respect de la scolarisation des enfants.
Une table ronde d’urgence avec le Préfet, et si nécessaire le gouvernement, les représentants des expulsés, les différentes composantes du Comité de soutien et les élus.
10 ans après Saint Bernard, la lutte des sans papiers continue, et un an après les incendies meurtriers de taudis parisiens, la crise du logement, les discriminations racistes et la précarité se sont aggravées.
A l’appel du comité de soutien :Les 1000 de Cachan, AC !, AITEC, AMES, APEIS, ATTAC, Cimade, Comité des sans-logis, Collectif des sans papier de St Bernard, CGT, CNL 94, DAL, Droits Devant !!, FCPE, FSU, GISTI, IACD,LDH, MRAP, Réseau IPAM, RESF, RESOCI, SOLIDAIRES, ZANADOAN … LCR, PCF, Verts, les alternatifs, et de nombreux élus du Conseil Général et de municipalités environnantes..