Association des Travailleurs Maghrébins de France
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Concert de soutien aux internautes de Zarzis

Mélodies contre l’Oubli
seconde édition

Concert de Soutien aux
« Internautes de Zarzis »

Vendredi 17 Février 2006
20h00
ouverture des portes : 19h00
Bourse du Travail de Saint-Denis
M° Saint-Denis-Porte de Paris
(Ligne 13)

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ATMF Argenteuil : Gaada diwane de bachar en concert

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Pour la clôture de son 20ème anniversaire, l’ATMF d’Argenteuil organise un grand concert avec Gaâda Diwane de Bechar

Vendredi 17 février
Salle Jean Vilar
9 boulevard Héloïse
95100 Argenteuil

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Concert de soutien aux internautes de Zarzis


En présence de Mme Hélène Flautre , Présidente de la Sous-Commission des Droits de l’Homme du Parlement Européen et de Térésa Chopin, maman d’Omar Chlendi, un des internautes .
Mélodies Contre l’Oubli Seconde édition
Concert de Soutien aux « Internautes de Zarzis »

Vendredi 17 Février 2006 : 20h00
Bourse du Travail de Saint-Denis
M° Saint-Denis-Porte de Paris
(Ligne 13)
Participation aux frais 5€

Les « internautes de Zarzis », ce sont un enseignant et cinq jeunes de 20 ans qui menaient une vie sans histoires dans cette petite ville du sud tunisien, jusqu’à leur arrestation en février 2003. Condamnés à 13 ans de prison, ils vivent un enfer après avoir été torturés pendant des interrogatoires de police. Pourquoi ? Pour avoir surfé sur internet.

Pour eux, ils seront là ...

• MOHAMED BHAR (CHANT ET LUTH ORIENTAL) • TAREK MAÂTOUG (SAXOPHONE ET PERCUSSIONS) • MICHEL SEBAN (POP FOLK INTIMISTE) • FRÈDE (AUTEUR-INTERPRÈTE) • QUATUOR VOCAL DE L’AMITIÉ (CHANT A CAPELLA) • HAILEINSE (ROOTS, ROCK, REGGAE) • FOUZIA ET MUSTAPHA (CHANSON ENGAGÉE)

… et vous ?

Vous pouvez consulter toutes les informations complémentaires (soutiens, programmation détaillée, internautes) sur le site http://www.zarzis.org
Pour toute prise de contact : contact@zarzis.org

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Appel de soutien de m. Souaïdia

M. Souaïdia,auteur du livre « La sale guerre » vient d’être condamné à mort en Algérie.

Appel :

Refusons le terrorisme d’Etat,
soutenons Habib Souaïdia !

Le 23 janvier 2006, le tribunal criminel de Bouira a condamné, par contumace, M. Habib Souaïdia, à la peine capitale. M. Souaïdia avait publié un livre en février 2001, aux Editions La Découverte, sous le titre « La sale guerre », dans lequel il a dénoncé avec courage les exactions et crimes contre l’humanité commis par ses chefs militaires contre les populations civiles en Algérie, durant la dernière décennie. Les militants des droits de l’homme, ONG et associations de divers horizons enquêtant sur ces crimes, avaient soutenu le précieux témoignage de M. Souaïdia, dans la mesure où, sans blanchir les groupes armés de leurs crimes, il ne faisait que confirmer les milliers de témoignages en leur possession.

Fait invraisemblable : La condamnation de M. Souaïdia émane d’un tribunal civil, alors que les faits qui lui seraient reprochés auraient été commis dans l’exercice de sa fonction d’officier des forces spéciales et qu’en la matière seul un tribunal militaire est habilité à le juger. En outre, lors de cette parodie de justice, tous les témoins et plaignants cités par le ministère public étaient absents. En avril 2002, M. Souaïdia avait déjà subi les foudres de ses chefs militaires qui l’ont fait juger et condamner par contumace à vingt ans de prison pour «participation à une entreprise d’affaiblissement du moral de l’armée nationale ». En juillet 2002, c’est l’ancien ministre de La Défense, le général Khaled Nezzar en personne, qui intentait un procès en diffamation contre M. Souaïdia. Sans succès, le général avait été débouté par la justice française qui a pu apprécier, à juste titre, la bonne foi de M. Souaïdia et des nombreux témoins appelés à l’initiative de sa défense.

Le vote, le 23 septembre 2005, de la charte dite de « réconciliation nationale » avait déjà été dénoncé par tous les spécialistes des droits de l’homme comme une légalisation de l’impunité et une négation des droits des victimes à la justice et à la vérité. Mais à l’heure où, plus que jamais, la communauté algérienne des droits de l’homme, soutenue par les ONG et militants de tous continents, se mobilise pour la vérité et la justice sur ces crimes, il s’avère par ces méthodes, pour le moins grotesques et indignes d’un Etat, que la réponse des autorités, de droit ou de fait, algériennes est la négation par le subterfuge.

Nous, défenseurs des droits de l’homme, défenseurs de la liberté d’expression, intellectuels, membres associatifs et citoyens libres du monde de tout horizon, dénonçons avec fermeté les graves pressions et intimidations dont a fait l’objet M. Souaïdia par cette condamnation à mort. Nous interpellons et appelons à la mobilisation la communauté internationale, quant à la grave situation des droits de l’homme en Algérie, où les crimes de disparition, de torture et d’exécution sommaire sont toujours pratiqués en toute impunité.

Ensemble, femmes et hommes debout, nous refusons le terrorisme d’Etat et nous nous tenons aux cotés de M. Souaïdia, que nous assurons de notre soutien !


Ont déjà signé cet appel
:Abdelkader Tigha, Ahmed Simozrag, Anouar Koutchoukali, Armand Veilleux,
François Gèze, Mehdi Mosbah, Mohamed Samraoui. Moncef Marzouki, Mourad Dhina…

Ce texte sera publié sur tous moyens d’expression (Net, journaux, etc) une fois qu’il aura
recueilli un grand nombre de signatures.
Merci de joindre vos nom, prénom et si possible votre fonction.
Merci de diffuser au plus grand nombre (même si, pour des raisons qui restent les votre, vous
ne signez ce texte).

Merci de communiquer l’email pour récolter les signatures : Mehdi-mosbah@voila.fr

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A.Guiza (internaute Zarzis) en danger de mort

Communiqué

Nous apprenons que l’état de santé de Abdelghaffar Guiza, l’un des « internautes de Zarzis », s’est considérablement aggravé ces derniers temps au point que sa famille craint pour sa vie. Ni son transfert à l’hôpital pour quelques jours, ni les soins qui lui sont actuellement prodigués ne peuvent améliorer son état de santé qui nécessite un transfert immédiat dans une unité de soins appropriée.

Nous rappelons que la tuberculose dont souffre Abdelghaffar Guiza a empiré suite aux mauvaises conditions de détention et à la privation de ses médicaments. Il a mené plusieurs grèves de la faim (cf. communiqué du 21.11.05) en protestation contre le refus de l’administration pénitentiaire de le faire bénéficier de ses droits les plus élémentaires aux soins et à l’assistance médicale qu’il ne cessait de réclamer vu la grave détérioration de son état de santé allant jusqu’au vomissement de sang. Début novembre, il avait été admis au service de pneumologie de l’hôpital de l’Ariana sans qu’aucun membre de sa famille n’ait été informé, puis renvoyé en prison où il avait entamé une nouvelle grève de la faim.

Le Comité international de soutien aux internautes de Zarzis lance un appel aux autorités tunisiennes pour que Abdelghaffar Guiza reçoive dans l’urgence les soins appropriés à son état de santé.

Il considère que l’Etat tunisien, en ignorant les appels de Abdelghaffar Guiza et de sa famille, prend la responsabilité des conséquences que ce refus peut avoir sur la santé et sur la vie de ce détenu.

Il rappelle les conditions inhumaines de détention de Abdelghaffar Guiza et de ses camarades, entraînant la détérioration de leur état de santé, comme le prouve le cas de Omar Chlendi enfermé avec 100 autres détenus dans une cellule de 90 m2, et dont le genou nécessite une opération urgente (cf. rapport de visite de sa mère du 6 février 2006).

Il appelle les organisations nationales et internationales à œuvrer en faveur de la libération de ces six internautes condamnés, sans preuve, au cours du même procès, le 6 juillet 2004, à 13 ans de prison, pour le seul « crime » d’avoir surfé sur internet.

Fait à Paris, le 11 février 2006

Pour le Comité

Térésa Chopin, Porte parole

Et mère d’Omar Chlendi

Comité international de soutien aux internautes de Zarzis

Présidente : Hélène Flautre, Parlementaire européen

Porte Parole : Térésa Chopin, mère d’Omar Chlendi

www.zarzis.org

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Rapport de visite de Térésa Chopin à son fils à la prison de Borj El Amri, Tunis

6-02-2006 30 et 31 janvier 2006

par Térésa Chopin

30 janvier

Accueil à l’ambassade de France.

Depuis quelques jours déjà les autorités françaises au consulat et à l’ambassade se démènent pour m’obtenir un droit de visite à mon fils, mais en vain.

Après plusieurs heures d’attente, l’intervention du Consul de France, que je remercie infiniment, fût nécessaire, pour obtenir cette visite très attendue. On m’informe qu’il y a accord pour deux visites, les 30 et 31 janvier

Dès l’obtention des accords, je me rends à la prison.

Je confirme ma présence dans les lieux au consulat de France.

Après vérification de mon identité, l’accueil des fonctionnaires présents est agréable et visiblement la Direction Pénitentiaire a contribué au bon déroulement de ma visite.

Les gardes me font attendre dans la pièce qui sert de lieu de rencontre.

Après un délai d’attente, qui m’a semblé interminable, mon fils est apparu devant la porte. L’émotion fut tellement grande que les gardes ont dû nous aider à nous séparer ; pour lui ce fut une grande surprise de voir sa maman, personne ne l’avait prévenu. Je ne savais pas par où commencer, j’étais complètement déstabilisée, la vue de mon fils me semblait irréelle.

Il est arrivé avec beaucoup de difficultés à se déplacer toujours son handicap par rapport à son genou. Nous nous sommes assis sur les sièges prévus, sous la surveillance de trois gardes présents.

Après m’avoir demandé des nouvelles de toute la famille et du monde extérieur, Omar m’annonce qu’on lui a fait passer une radiographie à son genou le vendredi précèdent ma visite.

Je lui demande de me montrer son genou, il est enflé et dévie vers l’intérieur de la jambe ; sa jambe est raide et il souffre énormément. J’ai également vérifié le reste de son corps, ses multiples infections aux pieds ont disparu, des soins lui ont été accordés, depuis ma dernière visite et il ne porte plus aucune trace de gale sur ses membres. Il reste très souriant devant moi, malgré une grande peine et une grande souffrance physique. Son état moral est toujours très fragile, il me dit qu’il va sûrement finir ses jours dans cet enfer. Il avait demandé à être transférer dans une prison plus près du domicile de son père, pour lui éviter tous ces longs trajets qu’il fait toutes les semaines.

Je lui dis que je fais tout ce que je peux pour le sortir de là et que tout le monde les soutient.

Il est déjà l’heure de se quitter et je lui dis à demain.

31 Janvier

Je n’arrive toujours pas à réaliser que je suis devant ces murs qui enferment mon enfant. Une fois de plus je suis devant la porte, les gardes me conduisent à la salle de rencontre et au bout d’un moment je revois Omar, qui à l’air très triste, il se demande également si le présent est bien réel. Il me dit qu’il est prêt à tout faire pour sortir de là, je le raisonne et lui dit qu’il faut encore patienter un peu, je lui demande si les conditions au niveau de sa cellule son toujours les mêmes, il me répond que rien n’a changé depuis la dernière fois, qu’ils sont toujours plus de cent dans environ 90m2.

Et concernant la nourriture son père lui apporte toujours le couffin toutes les semaines.

La veille j’avais demandé l’autorisation de lui donner quelques vêtements et de l’argent, chose qui m’a été accordé.

Nous continuons notre conversation et Omar dit que, des supérieurs de l’administration sont venus lui rendre visite, il leur a dit qu’il souhaitait : qu’on lui accorde l’opération pour son genou qui avait déjà été demandée, à être transféré plus près du domicile de son père et qu’il souhaitait poursuivre ses études.

Aucune réponse n’a été donnée pour l’instant.

Je lui demande s’il a des problèmes particuliers, s’il est mal traité ?

Il me répond que non, mais que depuis 6 mois il ne reçoit aucun courrier. Je demande au garde présent de bien vouloir accorder à Omar qu’il m’écrive et je lui donne ma nouvelle adresse.

Je poursuis ma conversation et lui dis qu’au niveau européen, tout le monde est informé de cette affaire et qu’on fera tout pour le sortir avec ses camarades.

Il me dit qu’Abdelghaffar Guiza va très mal, qu’il a été transféré et qu’il a du être hospitalisé, que sa santé est très critique. « Maman quand je l’ai vu partir il m’a fait beaucoup de peine j’ai peur qu’il meurt bientôt ».

Il m’informe également qu’Aymen Mcharek a été transféré à la prison de Sfax.

Et la montre a tourné, on nous dit que c’est fini !!

Dire au revoir à mon fils a été une chose insupportable, les larmes aux yeux, nous nous sommes embrassés une dernière fois et au loin dans les couloirs nous avons crié de part et d’autre.

Je t’aime …

Je t’aime moi aussi maman.

Je t’aime Omar. à bientôt … je reviendrai.

Une dernière fois je regarde ces murs qui emprisonnent mon fils en espérant qu’un jour ça ne sera plus le cas.

Même après une brève entrevue avec le directeur de la prison, rien ne permet de déterminer si la direction pénitentiaire, va autoriser une intervention chirurgicale qui avait déjà été demandé depuis un an. Le directeur me dit que le rapport de la radiographie indique qu’Omar à une inflammation du ménisque, mais ne me donne pas la copie de ce rapport de radiographie.

Térésa Chopin

www.zarzis.org

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TOUCHER AU DROIT DES ETRANGER-E-S, C’EST TOUCHER AU DROIT DE TOUTES ET TOUS !

REUNION PUBLIQUE D’INFORMATION ET DE FORMATION
POUR PREPARER UNE MOBILISATION NATIONALE DE GRANDE AMPLEUR

SAMEDI 28 JANVIER 2006
DE 13 H A 17 H A LA BOURSE DU TRAVAIL
(85 rue Charlot – 75003 Paris)

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ATMF Gennevilliers : Projection de film « l’enfant endormi »

Soirée rencontre
En présence de la cinéaste (sous réserves)
et en collaboration avec ATTAC 92, l’A.T.M.F,
« Elles ouvrent la porte », « La Maison des femmes de Gennevilliers»

« L’ENFANT ENDORMI » de Yasmine Kassari
Au Nord-Est du Maroc contemporain, une jeune mariée, Zeinab, voit son époux quitter le pays pour la clandestinité le lendemain de ses noces. Zeinab est enceinte. Dans l’attente du retour de son mari, elle fait endormir son fœtus. Le temps passe, le mari ne revient pas.

Le vendredi 27 JANVIER à 20h15

Au cinéma Jean Vigo
1 rue Pierre et Marie Curie
92230 Gennevilliers

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Concert de soutien aux internautes de Zarzis

« Sous le soleil, exactement ! »
Mélodies contre l’Oubli
seconde édition

Concert de Soutien aux
« Internautes de Zarzis »

Vendredi 17 Février 2006
20h00
ouverture des portes : 19h00
Bourse du Travail de Saint-Denis
M° Saint-Denis-Porte de Paris
(Ligne 13)

Participation aux frais 5€

Les « internautes de Zarzis », ce sont un enseignant et cinq jeunes de 20 ans qui menaient une vie sans histoires dans cette petite ville du sud tunisien, jusqu’à leur arrestation en février 2003. Condamnés à 13 ans de prison, ils vivent un enfer après avoir été torturés pendant des interrogatoires de police. Pourquoi ? Pour avoir surfé sur internet.


Pour plus d’info
: http://www.zarzis.org
contact mail : contact@zarzis.org – tél (Teresa) : 06 18 81 93 21

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Déclaration du Collecif pour la liberté de la presse en Algérie

Déclaration

Dix-huit journalistes algériens, exerçant tous dans la presse indépendante, condamnés en première instance à des peines allant de deux à douze mois de prison ferme, risquent d’aller en prison en ce début d’année 2006. La menace de voir ces peines confirmées est malheureusement réelle. Dans la situation actuelle caractérisée par une privatisation du fonctionnement des pouvoirs, rien ne laisse espérer de la justice qu’elle agisse dans la sérénité et l’indépendance aux procès en appel fixés dans les prochaines semaines.
Si la justice ne se ressaisissait pas en cessant de jouer le rôle d’instrument de revanche du pouvoir politique irrité par l’indocilité de la presse indépendante, cette cascade de procès impitoyables et sans précédent placerait l’Algérie en tête du sinistre hit-parade des pays attentant à la liberté de la presse et, à travers elle, à toutes les libertés démocratiques.

Cette remise en cause de la liberté de la presse, pour partielle qu’elle soit, obtenue au prix fort du sacrifice de près de 120 journalistes, a commencé par l’arrestation de Mohamed Benchicou qui entame son vingtième mois de prison. Malade et privé des soins nécessaires, il a été extrait plus de 34 fois de sa cellule pour être présenté devant le tribunal et répondre de nouvelles plaintes pour délit de presse.

Depuis l’emprisonnement du Directeur du Matin, la situation de la liberté d’expression et de la presse en Algérie n’a fait que se dégrader. Outre les dix-huit condamnations à des peines de prison ferme recensées en 2005, un récent bilan dénombre des dizaines de journalistes sanctionnés par des peines de prison avec sursis. Il révèle aussi les cas des correspondants locaux livrés, dans le silence, à une justice expéditive ; les sociétés éditrices croulant sous des amendes astronomiques, acculées à la faillite en raison du chantage à l’impression, à la publicité ; les menaces de suspension planant sur des publications.

Quant à l’affaire Benchicou, par son exemplarité et la brutalité des méthodes utilisées, elle aura été pour l’opinion nationale et internationale le révélateur des velléités liberticides inscrites dans la réforme du code pénal de 2001. Aujourd’hui, en dépit de tous les brouillages opérés autour de son procès, des instances internationales reconnues (ONG, Parlement Européen, FIJ, etc) considèrent le journaliste Mohamed Benchicou comme un prisonnier d’opinion. Elles n’ont cessé de dénoncer avec nous son emprisonnement, ainsi que les dispositions de ce Code pénal, qui entravent l’exercice de la profession de journaliste en Algérie.

Dans les prochaines semaines, les verdicts des procès en appel vont être rendus. Le collectif pour la liberté de la presse en Algérie réitère son appel en direction des élus et responsables politiques entretenant des relations avec le pouvoir algérien à travers divers accords économiques au niveau national et européen, ainsi qu’à l’opinion nationale et internationale afin d’agir immédiatement :

· Pour la libération immédiate et inconditionnelle de Mohamed Benchicou.
· Pour la levée de tous les interdits qui frappent le journal le Matin depuis le 24 juillet 2004.
· Pour la relaxe de tous les journalistes condamnés à la prison pour délit de presse.
· Pour la dépénalisation des délits de presse
· Pour le respect des conventions internationales ratifiées par l’Algérie

Paris, le 16 janvier 2006

Le collectif pour la liberté de la presse en Algérie
Portable: 06 78 13 84 79 de l’etranger 00 33 6 78 13 84 79
-Envoyez vos messages de soutien à librepresse_algerie@yahoo.fr
-Visitez notre site www.libererbenchicou.com
-Retrouvez les chroniques de Mohamed Benchicou www.ziane-online.com