Dans le cadre des échanges autour du mouvement du 18 octobre et ses conséquences en faveur de la lutte pour les droits et les libertés en Tunisie, nous vous invitons à nous rejoindre pour exprimer ensemble notre rejet de la dictature en Tunisie et apporter notre soutien à la lutte du peuple tunisien pour ses droits, sa liberté et sa dignité.
* Pour la liberté d’expression et d’information
* Pour la liberté d’organisation politique et associative
* Pour la libération de tous les prisonniers politiques et la promulgation d’une loi d’amnistie générale
Rencontre
vendredi 16 décembre 2005 à partir de 18h00
A la bourse de travail de saint-denis
9-11 rue Génin – Saint Denis
Métro Saint Denis – Porte de Paris
En présence de personnalités politiques et associatives qui ont participé à la grève de la faim du 18 octobre :
* Ahmed Néjib Chebbi, secrétaire général du parti démocratique progressiste (PDP)
* Hamma Hammami, porte parole du parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT)
* Abderraouf Ayadi, vice-président du congrès pour la République (CPR)
* Lotfi Haji, président du syndicat des journalistes tunisiens (SJT)
* Samir Dilou, responsable des relations extérieures de l’association internationale de soutien au prisonniers politiques (AISPP)
* Ayachi Hammami, porte parole du comité de soutien à Me Mohamed Abbou
Et de personnalités indépendantes et dirigeants de partis d’opposition et d’associations :
* Radhia Nasraoui, présidente de l’association de lutte contre la torture en Tunisie (ALTT)
* Sihem Ben Sedrine, porte parole du conseil national pour les libertés (CNLT)
* Naziha Rjiba (Oum Ziad), présidente de l’observatoire national de la liberté d’édition et d’expression
* Sana Ben Achour, universitaire et coordinatrice du comité national de soutien de la grève de la faim du 18 octobre
* Abdessatar Ben Moussa, bâtonnier de l’ordre des avocats tunisiens
* Khémaïs Chammari, membre du collectif 18 octobre pour les droits et les libertés
* Mustapha Ben Jâafar, secrétaire général du forum démocratique pour le travail et les libertés (FDTL)
* Béchir Essid, porte parole des unionistes Nassériens et ancien bâtonnier de l’ordre des avocats tunisiens
* Iyâdh Ben Achour, professeur de Droit à l’université de Tunis
* Chawki Tabib, membre du conseil de l’ordre des avocats et avocat de l’association des magistrats tunisiens
* Mohamed Jmour, membre du conseil de l’ordre des avocats et porte parole du parti du travail patriote et démocratique (PTPD)
A l’appel de :
Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT), Fédération des tunisiens citoyens des deux rives (FTCR), Voix libre, Solidarité tunisienne, Union des travailleurs immigrés tunisiens – PIDF (UTIT-PIDF), Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF), Union générale des étudiants de Tunisie – France (UGET-France), Conseil national pour les libertés (CNLT), comité des enfants et proches des prisonniers politiques, Fédération internationale des ligues de droit de l’homme (FIDH), Syndicat de la magistrature (SM), Ligue des droits de l’homme (LDH), comité de soutien aux internautes de Zarzis, l’Observatoire des libertés fondamentales en Tunisie Lyon-France.
Avec le soutien de :
Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT), Mouvement Ennahdha, Forum démocratique pour le travail et les libertés (FDTL), Les unionistes Nassériens, Parti du congrès pour la République (CPR), Les verts, Parti communiste français (PCF), Parti socialiste (PS), Ligue communiste révolutionnaire (LCR).