Association des Travailleurs Maghrébins de France
10 rue Affre - 75018 Paris
01 42 55 91 82 national@atmf.org

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L’ATMF d’Argenteuil a 20 ans

L’ATMF : Une mémoire vivante créatrice du lien social et inter générationnel

L’Association de Travailleurs Maghrébins de France d’Argenteuil
Célèbre son 20ème anniversaire
A partir du 6 novembre 2005

Créée officieusement au début des années 70, l’ATMF a été déclarée officiellement en octobre 1985 après la suppression du décret restreignant le droit associatif des étrangers. Ancrée dans la ville d’Argenteuil depuis janvier 1980, elle n’a cessé de se battre pour l’égalité des droits, l’accès à la citoyenneté de résidence, de lutter contre le racisme, l’intégrisme et toutes formes de discrimination ou de rejet. Le projet qu’elle développe, les actions qu’elle réalise avec et au bénéfice des habitants s’inscrivent parfaitement dans le tissu associatif, social et culturel de notre commune.

Bon anniversaire l’ATMF…

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Lyon : Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques…

Entre Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques en Israël la rencontre ne pouvait être fortuite…

le 5 novembre à Lyon

20 heures au CCO, 39 rue Georges Courteline, 69100 Villeurbanne.

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Rassemblement en soutien à la grève de la faim du 18 octobre en Tunisie

Rassemblement

le samedi 5 novembre 2005 de15h00 à 17h00,

Place du Châtelet à Paris

APPEL

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Rassemblement en soutien à la grève de la faim du 18 octobre en Tunisie

Huit dirigeants politiques et associatifs tunisiens sont en grève de la faim depuis le 18 octobre :

– Me Ahmed Néjib Chebbi, secrétaire général du Parti Démocratique Progressiste (PDP)

– Hamma Hammami, porte parole du Parti Communiste des Ouvriers de Tunisie (PCOT)

– Me Abderraouf Ayadi, vice-président du Congrès Pour la République (CPR)

– Me Ayachi Hammami, porte parole du comité de soutien à Me Mohamed Abbou et secrétaire général de la section de Tunis de la ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme

– Lotfi Hajji, président du syndicat des journalistes

– Me Mohamed Nouri, président de l’association internationale de soutien aux prisonniers politiques (AISPP)

– Le juge Mokhtar Yahyaoui, président du centre pour l’indépendance de la magistrature en Tunisie

– Me Samir Dilou, membre de l’AISPP et membre du Comité de défense de Me Mohamed Abbou,

Pour revendiquer :

· La liberté de la presse et de l’information ;
· Le droit à la constitution de partis et d’associations ;
· La libération des prisonniers politiques et d’opinion et la promulgation d’une loi d’amnistie générale.
Ces revendications sont, sans cesse, affirmées par le mouvement démocratique et la société civile tunisienne.

L’état de santé de trois grévistes devient préoccupant selon le dernier bulletin médical mais la détermination de tous les grévistes reste grande face à un pouvoir qui demeure sourd aux contestations.
Maître Abderraouf Ayadi, 55 ans, souffre d’un ralentissement inquiétant de son rythme cardiaque et a du interrompre sa grève sur avis médical pour sauver sa vie, le juge Mokhtar Yahyaoui, 53 ans, a eu un malaise qui a nécessité une réanimation avant d’être évacué à l’hôpital. Maître Mohamed Nouri, 66 ans a été hospitalisé d’urgence pour aggravation de son diabète avant de reprendre son action.
En dépit d’un discours accusateur du pouvoir tunisien et de certains «partis de l’opposition» aux ordres et d’une campagne de désinformation et de dénigrement, un large mouvement de solidarité de la société civile et du mouvement démocratique tunisien dans sa diversité s’est développé autour de cette action.
En France un comité de soutien regroupant les associations et les partis politiques tunisiens actifs à l’étranger s’est constitué et mène une campagne de mobilisation de l’opinion publique française et internationale.

C’est dans ce cadre que le comité de soutien de la grève de la faim et les organisations françaises et internationales signataires appellent à un rassemblement
le samedi 5 novembre 2005 de15h00 à 17h00, Place du Châtelet à Paris

Sur l’initiative du
Comité de soutien de la grève de la faim du 18 octobre 2005 en Tunisie (CSGF)

A l’appel de
Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), Association des tunisiens de France (ATF), Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF), Collectif des familles de prisonniers politiques en Tunisie, Comité international de soutien aux jeunes de Zarzis, Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), Congrès pour la république (CPR), Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT), Ennadha, Ettajdid, Fédération des tunisiens citoyens des deux rives (FTCR), Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH), Fondation Danielle Mitterrand – France Libertés, Forum démocratique pour les libertés et le travail (FDTL), Jean-Claude LEFORT- député du Val de Marne, Ligue française des droits de l’Homme et du Citoyen (LDH), Parti communiste des ouvriers tunisiens (PCOT), Parti communiste français (PCF), Parti Socialiste (PS), Reporters sans frontières (RSF), Solidarité Tunisienne, Syndicat de la magistrature (SM), Syndicat des avocats de France (SAF), UGET France, Union de la Jeunesse Maghrébine (UJ
M), Union des Etudiants Algériens en France (UEAF), Voix libre.

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Marseille : Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques…

Entre Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques en Israël la rencontre ne pouvait être fortuite…

le 4 novembre à Marseille

20 heures à l’Espace accueil aux étrangers

22 rue Mathieu Stilatti, 13003 Marseille

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Entre Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques en Israël, la rencontre ne pouvait être fortuite…

Sarah Lakhiani est une juive orientale qui habite Kyriat-Gat, « ville de développement » où vivent les Israéliens les plus pauvres. Rawda Odeh réside avec sa famille dans cette partie de Jérusalem annexée par Israël, qui tente par tous les moyens de la vider de ses habitants palestiniens. Leurs enfants sont parmi les 8 500 prisonniers politiques victimes de l’Occupation.

Leur parcours ensemble jusqu’ici, est un véritable défi.
Oui il est possible de traverser les murs et de refuser la séparation et la discrimination.
Oui il est possible de vivre ensemble et de partager dans la justice.

Jeudi 3 novembre 2005, à 19 heures
Bourse du Travail
3, rue Château d’Eau
75010 PARIS
M° République
PAF : 3 €

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Paris : Entre Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques en Israël la rencontre ne pouvait être fortuite…

Jeudi 3 novembre 2005,
à 19 heures
Bourse du Travail
3, rue Château d’Eau
75010 PARIS

M° République
PAF : 3 €

Tract

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Caen : Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques…

Entre Sarah et Rawda, deux mères de prisonniers politiques en Israël la rencontre ne pouvait être fortuite…

20h30, Amphi Tocqueville, Université de Caen

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RAPPORT SUR LES VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME DES PERSONNES MIGRANTES D’ORIGINE SUBSAHARIENNE EN TRANSIT AU MAROC

La APDHA publie les résultats de sa mission au Maroc, dont les conclusions démontrent que les migrants sont victimes de graves violations des droits de l’homme dans le pays et aux frontières de Ceuta et Melilla. Des violations qui malheureusement ont été réalisées directement par, ou qui comptent avec la complicité morale, matérielle et économique du, Gouvernement espagnol et de l’Union Européenne.

Récapitulation des évènements:

Novembre 2003: Visite du Président du gouvernement espagnol José Mª Aznar et grande opération de « nettoyage » sur le territoire marocain.

Avril 2004: Nettoyage du camp de fortune de Gourougou. Les migrants sont déportés vers un « no man’s land » à la frontière algérienne.

Février 2005: Visite du Roi Juan Carlos au Maroc et conférence sur la coopération des deux royaumes face à l’immigration clandestine.
Stratégie militaire d’encerclement et situation humanitaire dramatique dans la foret de Ben Younes- les déportations vers l’Algérie continuent de plus bel…

27 septembre 2005: Grandes rafles et détentions de migrants irréguliers dans les quartiers populaires de Rabat et de Casablanca. Ils sont de nouveau déportés à la frontière algérienne.

28 septembre 2005: Réunion au Sommet entre le Maroc et l’Espagne: le Royaume marocain en gage de sa bonne volonté indique qu’il en finira bientôt avec le « problème des subsahariens » sur son territoire.
Le même jour, à 3h du matin, se produisent les “assauts massifs” à la barrière frontière de Ceuta (avec comme résultat au moins 6 morts) attribués aux migrants de Ben Younes.
C’est à partir de ces assauts que commencent les déportations de migrants vers le sud.

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Migrants et demandeurs d’asile en grève de la faim

Environ 70 personnes dont 46 demandeurs d’asile actuellement détenus sur la base de Berden (Bouizakarn, à 40 km au nord de Guelmim) ont commencé ce matin une grève de la faim.

Cette grève a été initiée afin de :
– contester leur « détention arbitraire » et les conditions de celle-ci : « nous sommes traités comme des prisonniers alors que nous sommes seulement des demandeurs d’asile »
– demander l’accès à la base des organisations humanitaires, en particulier MSF en raison des conditions d’hygiène déplorables dans lesquelles il semble vivre et l’état de fébrilité de nombres d’entre eux, et des organisations de défenses des droits de l’homme,
– demander l’accès au HCR pour les demandeurs d’asile qui craignent un renvoi forcé dans leur pays suite à la visite de représentants de plusieurs ambassades.

D’après les déclarations des migrants, participent à cette grève des Congolais (RDC), Ivoiriens, Libériens, Ghanéens, Sierra Léonais, Camerounais, Soudanais, Pakistanais et Indiens.

Une dizaine de femmes ainsi que trois enfants (deux bébés et une fillette de 8 ans) seraient détenus sur la base.