Association des Travailleurs Maghrébins de France
10 rue Affre - 75018 Paris
01 42 55 91 82 national@atmf.org

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Droit au logement

Manifestation pour l’arrêt des expulsions et pour le droit au logement.
14h30 Place de la république. Paris

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Sans papiers : manifestation

Manifestation des sans papiers à 14h30 Place de la République.
Paris

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Rassemblement : Contre l’Europe forteresse et l’embargo contre les migrants ‎africains : ‎

=http://www.atmf.org/spip.php?article449

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Halte à l’harcèlement et à l’embargo contre les migrants africains au Maroc

=http://www.atmf.org/spip.php?article542

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Cellule de suivi Belyounech: Cellule crée par l’Afvic pour informer au quotidien sur la situation à BELYOUNECH suite à l’embargo mené par les forces d’ordre.

Témoignage du chairman Congolais contacté par téléphone aujourd’hui le 23 février 2005 à 16H30 GMT

 » Cela fait plus de 10 Jours que nous sommes encerclés par les militaires. Nous sommes des réfugiés congolais, nous vivons dans cette forêt depuis notre arrivée au Maroc, nous avons survécu à un hiver difficile où nous avons passé des nuits à moins de 7 degrés sans couverture ni toit. Il y a des enfants et des femmes parmi nous. Nous avions l’habitude de sortir en ville pour chercher de la nourriture ou pour mendier, et nous cherchions de l’eau d’une source à 1 Km du camp. Aujourd’hui les militaires nous encerclent, nous ne sommes pas des animaux, nous sommes des êtres humains avec des sentiments, des familles et des aspirations. Nous sommes des réfugiés et si nous avons fuit le Congo, c’est parce qu’il y a la guerre. ……….

……..Aujourd’hui même nous avons envoyé deux de nos camarades pour nous chercher de la nourriture ils ne sont pas revenus. Hier c’était pareil ! !…….

……Aidez-nous, nous avons besoin de votre appui. C’est un drame humanitaire. Nous refouler à Oujda ne veut pas dire trouver une solution à notre cas. Nous préférons mourir encercler que de nous rendre. On nous applique une stratégie de guerre alors que nous sommes des civiles sans armes, sans force. Enfin penser que nous sommes des êtres humains, peut être ! ! je commence à m’en douter  »

La situation sécuritaire reste la même. Toutes les issus aux camp restent bloquées. L’association des Travailleurs maghrebin en France à rendu public un Communiqué dans lequel elle denonce cet état de fait et demande une intervention du Roi, en tournée actuellement dans des pays africains , d’intervenir pour arreter ce drame humanitaire.

Afvic à mis en place une cellule de suivi pour réagir et informer les Ongs et le grand public de la situation sur le terrain et sollicile la mobilisation de la société civile pour mettre terme à cet embargo contaraire aux principes fondamentaux des droits de l’Homme.

Pour Réagir contre l’embargo prière d’envoyer un Fax à Monsieur le Wali de Tétouan :

++212 39 995 920

Avec une copie à La cellule de suivi Afvic: ++212 23 491 287

afvic@hotmail.com

AFVIC/PFM

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Mme AIT SIRAHAL

Mme AIT SIRAHAL
Décide de s’installer tout les vendredi de 16h à 19 h
Devant l’ambassade du Maroc en protestation contre l’impunité qui touche les policiers marocains responsables
de la mort de son mari
J’ai vu de mes propres yeux la police soulever mon mari menotté et le jeter contre le mur du commissariat de Marrakech. AIT SIRAHAL Mohammed, mon conjoint immigré marocain de 52 décède l’hôpital IBN ZOUHR à Marrakech quelques heures après avoir subi des tortures par la police marocaine (suite à une banale altercation).
Depuis le 25/07/2002 jour de la mort de mon mari, avec mes enfants, Achraf, Fahd, Wassime et leurs grands parents nous n’avons pas cessé de faire tous les recours auprès de l’administration Marocaine en France et au Maroc même afin que les policiers coupables de ce crime odieux soient jugés.

Des associations Marocaines, comme l’association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF), l’Association des Travailleurs Immigrés en Espagne (ATIME), Association de la jeunesse Maghrébine de Bruxelles, l’Association des Travailleurs Marocains de Hollande (KMAN), l’Association de défense des droits de l’Homme au Maroc (ASDHOM)…, de simple citoyens, mais aussi l’ONG américaine Humain Rights Watch, se sont indignés par le fait qu’aucun des policiers qui ont participé aux séances de torture n’a été suspendu de ses fonctions.

Je viens de rentrer du Maroc, ou la cour de « Justice » Marocaine de Marrakech a reporté au 1 mars l’étude du dossier et cela pour la 15 ème fois !!
Parce que je refuse que les agents de l’état jouissent d’une impunité totale, parce que, même si je suis une simple femme immigrée, vivant de son travail pour élever mes enfants et aider ma famille au bled, j’exige que justice soit faite et que les coupables soient jugés. C’est le seul moyen d’honorer la mémoire de mon mari et de me permettre de vivre avec dignité.
Pour la 15ème fois, je repars au Maroc, grâce à mes petites économies de gardienne d’immeuble parisien, pour défendre la mémoire de mon conjoint lors du prochain procès prévu le 1mars 2005 au tribunal pénal de Marrakech.
Par ailleurs, j’ai décidé avec mes enfants, et le soutien de mes amis, de m’installer, avec les photos de mon conjoint, devant :
l’ambassade du Maroc
5, RUE LE TASSE 75016 PARIS (Métro TROCADERO)
tout les vendredi de 16 h à 19h et cela a partir du vendredi 25 février 2005.

J’arrêterai mon action le jour ou la justice marocaine rendra un jugement équitable et punira les lâches qui torturent et assassinent un immigré qui voulait juste passer des vacances dans son pays d’origine avec sa famille.

J’ai plus que jamais besoin de votre soutien, interpellez les autorités marocaines, venez me rejoindre devant l’ambassade tous les vendredi, envoyez vos messages de soutien, apportez moi conseil pour que je puisse garder espoir dans la justice de mon pays et de ses institutions.

Paris le lundi, 21 fév. 2005
Madame Zoubida AIT SIRAHAL
Tel : 0143950493

Envoyez vos fax de solidarité et de contestation aux :
Ambassadeur du Maroc en France: 0145202258
affgeneral@amb-maroc.fr
Premier Ministre : 00 212 37 76 86 56
Copie de vos envois à : HAJI Youssef administrateur du réseau ATMF hajiyoussef@yahoo.fr (0610594063 faxe : 03.27.98.14.76).

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Liberté de presse en Algérie

Les libertés publiques et la liberté de la presse en Algérie et plus largement au Maghreb.
Réunion publique.

Vendredi 18 février 2005

A partir de 19h00

Au sénat
15 rue de Vaugirard
75006 paris

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Soirée / Débat : Les Emmurés de Tazmamart

A l’occasion des auditions entamées par l’Instance Equité et Réconciliation (IER) au Maroc nous avons le plaisir de vous inviter à une soirée débat en présence de Salah et Aïda HACHAD, autour de leur livre « Kabazal les emmurés de Tazmamart » (Edition Tarik)

Le mercredi 9 février 2005 à 19 heures

Salle St. Bruno
9, rue St. Bruno 75018 Paris
ligne 2 métro Barbès

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Soirée / Débat : les emmurés de Tazmamart

A l’occasion des auditions entamées par l’Instance Equité et Réconciliation (IER) au Maroc nous avons le plaisir de vous inviter à une soirée débat en présence de Salah et Aïda HACHAD, autour de leur livre « Kabazal les emmurés de Tazmamart » (Edition Tarik)

Le mercredi 9 février 2005 à 19 heures

Salle St. Bruno
9, rue St. Bruno 75018 Paris
ligne 2 métro Barbès

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Appel à signatures de soutien aux familles de Zarzis

Pour : BOURGUIBA Abderrazak (19 ans), MAHROUG Hamza, (22 ans), BEL HAJJ IBRAHIM Ridha (38 ans), GUIZA, Abdelghaffar (22 ans), RACHED Omar (22 ans), MCHAREK, Aymen (22 ans), CHLENDI Omar (22 ans).

A l’initiative de Térésa Chopin, mère d’Omar Chlendi, un groupe de soutien se met en place pour la libération des « internautes de Zarzis ». Ces internautes ont été condamnés en Tunisie pour la plupart à treize ans d’emprisonnement sans aucune preuve et ont été torturés durant leurs interrogatoires et détention.

L’objet de ce groupe de soutien est de réaliser et encourager toutes actions concrètes pour alerter et sensibiliser les opinions publiques et responsables politiques ou associatifs avec le but d’obtenir la libération de l’ensemble des prisonniers.

A cette fin, il diffuse aujourd’hui la lettre adressée au Premier ministre français, Jean Pierre Raffarin qui sera en visite en Tunisie à la fin du mois de janvier avec plusieurs membres de son gouvernement.
Voilà pourquoi et afin de soutenir Térésa Chopin, mère d’Omar Chlendi, et l’ensemble des familles et proches des internautes de Zarzis, nous demandons à chacune et chacun de bien vouloir signer la présente lettre au mail suivant : contact@zarzis.org

(Pour suivre les actions du groupe de soutien : http://www.zarzis.org/)

M. Le Premier ministre

Hôtel de Matignon

57, rue de Varenne

75700 Paris

Monsieur le Premier Ministre,

A l’occasion de votre déplacement en Tunisie à la fin du mois de Janvier, je reviens, une fois de plus, vers vous afin de vous alerter sur la situation dramatique et injuste vécue par les « internautes de Zarzis », et je vous demande de bien vouloir mettre en œuvre toutes les actions possibles en particulier auprès du Président de la République Tunisienne, Monsieur Ben Ali, afin que ces jeunes injustement condamnés soient libérés.

La tenue du Sommet Mondial sur la Société de l’Information en Tunisie en 2005, qui veut promouvoir les principes fondamentaux de la liberté d’expression, d’accès à l’information et de la liberté de la presse, ne peut que renforcer cette demande de libération pour des internautes dont le seul tort a été la fréquentation de sites interdits censurés.

Les peines de 13 ans d’emprisonnement ayant été confirmées en cassation le 8 décembre dernier mon fils a tenté de se suicider par désespoir. Il est dans un état de santé très dégradé et privé d’assistance médicale. Ses camarades sont également dans un état de désespoir total dû à leurs conditions de détention.
Voilà pourquoi, il est extrêmement urgent d’intervenir autant par souci humanitaire que par souci de justice.

J’avais adressé une demande de grâce à M. BEN ALI, mais cette demande est restée sans réponse jusqu’à aujourd’hui.

Monsieur le Premier ministre, la France a toujours défendu et respecté la liberté d’expression, la liberté de la presse et le droit à l’information ! La citoyenne française et la maman que je suis, peut-elle espérer que le représentant de son pays mettra tout en œuvre pour ouvrir les portes de la liberté à ces jeunes innocents ?

D’autres personnes, anonymes, familles d’autres détenus, associations humanitaires ou non et divers organismes qui ont suivi toute cette affaire et qui, comme moi, sont convaincus de l’innocence de ces jeunes me soutiennent et s’associent aujourd’hui à ce courrier en le co-signant avec moi.

Je vous prie de recevoir, Monsieur le Premier ministre, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

Térésa Chopin