Association des Travailleurs Maghrébins de France
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Assemblée Générale de l’ATMF Sens

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L’ATMF Sens organise son Assemblée Générale le vendredi 16 octobre à 18 h au 5, bis rue de la Folie Jeannot 89100 SENS.

Ordre du jour :

  • Rapport d’activité 2014
  • Bilan financier
  • Déroulement des activités 2015/2016
  • Questions diverses

Tous les adhérents à jour de cotisation sont invités à prendre part aux votes et aux discussions !

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17 octobre 1961 – 17 octobre 2015 : 54 ème Anniversaire – Vérité et Justice à Strasbourg

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Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre-feu discriminatoire qui leur avait été imposé par Maurice Papon, préfet de police de Paris. Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce jour-là, et les jours qui suivirent, des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés – notamment par la « force de police auxiliaire » – ou, pour nombre d’entre eux, refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes d’une violence et d’une brutalité extrême des forces de police.

54 ans après, la Vérité est en marche. Cependant, la France n’a toujours pas reconnu sa responsabilité dans les guerres coloniales qu’elle a menées, – en particulier la Guerre d’Algérie – non plus que dans le cortège de drames et d’horreurs qu’elles ont entraînés, comme ce crime d’État que constitue le 17 octobre 1961. Le 17 octobre 2012, le Président de la République a certes fait un premier pas important, en déclarant « Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l’indépendance ont été tués lors d’une sanglante répression. La République reconnaît avec lucidité ces faits. Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes. » Mais le terme de crime n’est pas repris, et la responsabilité, sous entendue, n’est pas clairement définie, Certains osent encore aujourd’hui continuer à parler des « bienfaits de la colonisation », à célébrer le putsch des généraux à Alger contre la République, à « honorer » les criminels de l’OAS.

On ne construit pas la démocratie sur des mensonges et des occultations. Après un demi-siècle, il est temps : 

– que le Président de la République, au nom de la France, confirme, par un geste symbolique, la reconnaissance et la condamnation de ce crime d’état

– que la Fondation pour la Mémoire de la Guerre d’Algérie vantant les « mérites de la colonisation » soit redéfinie sur des bases totalement différentes

– que l’État français reconnaisse sa responsabilité dans l’internement arbitraire, pendant la Guerre d’Algérie, d’Algériens dans des camps

 que l’État français reconnaisse sa responsabilité dans l’abandon des harkis, les massacres et l’enfermement dans les camps en France en 1962

que la liberté d’accès aux archives soit effective pour tous, historiens et citoyens

– que la recherche historique sur ces questions soit encouragée, dans un cadre franco-algérien, international et indépendant

Ce n’est qu’à ce prix que pourra disparaître la séquelle la plus grave de la Guerre d’Algérie, à savoir le racisme et l’islamophobie dont sont victimes aujourd’hui nombre de citoyens et citoyennes, ressortissants d’origine maghrébine ou des anciennes colonies, y compris sous la forme de violences policières récurrentes, parfois meurtrières : Ali ZIRI, Brahim Bouarram…

Dès le massacre de Sétif (1945), des militant-e-s anticolonialistes s’opposèrent de manière intransigeante à la politique colonialiste de leur propre gouvernement. Aujourd’hui, au moment où un Front national de plus en plus menaçant, mais aussi une partie de la droite voudraient imposer leur vision colonialiste et raciste, notre devoir de mémoire est de mieux faire connaître cette histoire et de refaire vivre cet internationalisme, en s’opposant aujourd’hui  à toutes les guerres impérialistes françaises et en revendiquant le droit de circulation et d’installation en France de toutes celles et tous ceux qui fuient la misère et la guerre créées par la politique meurtrière de notre gouvernement.

A l’occasion de ce 54e  anniversaire, nous exigeons Vérité et Justice.

Le 17 octobre 2013, Strasbourg s’est dotée d’une place du 17 octobre 1961, dédiée à la mémoire des victimes de la répression sanglante. Cette place est la concrétisation de la proposition du Collectif « D’ailleurs nous sommes d’ici ».

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Signataires :

Collectif « D’ailleurs nous sommes d’ici », ATMF, Attac Strasbourg, CCA, CGT Pôle Emploi Alsace, Ensemble ! 67, IJAN, JEA, La Feuille de chou, Le Président des Amis du peuple kurde en Alsace, MJCF 67, NPA 67, PCF 67, Solidaires Alsace, SUD EDUCATION, UEC Strasbourg, UJFP- Alsace. 

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Rassemblement : Samedi 17 Octobre 2015 à 17h au Pont du Corbeau Strasbourg, suivi d’une marche vers la Place du 17 Octobre 1961.

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Séminaire à Strasbourg : « Femmes immigrées et vieillissement »

 

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L’association Calima, membre de l’ATMF organise le jeudi 15 octobre 2015 un séminaire à Strasbourg sur le thème « femmes immigrées et vieillissement : une équation à double inconnue.

« Dans le cadre de la semaine bleue prévue à Strasbourg en octobre prochain, l’association CALIMA (Coordination Alsacienne de l’Immigration Maghrébine) organise avec le concours des partenaires du domaine de l’action sociale, médico-sociale et de la recherche (ESTES, Migration Santé Alsace, Maison des Aînés, CARSAT, ORIV, etc) un séminaire d’information et de sensibilisation sur la question du vieillissement des femmes âgées immigrées :  un véritable défi pour l’avenir.

Appelées les gardiennes du temple, les pionnières ou encore la vieille garde maghrébine, ces femmes âgées immigrées sont encore peu connues. Leur invisibilité dans l’espace public est un constat partagé par tous (chercheurs, pouvoirs publics, acteurs associatifs). Certaines études et rapports font état des problématiques de vieillissement qu’elles rencontrent. Notamment en terme d’isolement, de précarité, avec l’existence de facteurs aggravants comparés à leurs homologues masculins. Certaines d’entre elles ont des ambitions personnelles et sont dans une véritable dynamique de projet.

Objectif :

– Permettre une meilleure connaissance du public des femmes âgées immigrées

– Informer et sensibiliser les professionnels sur leurs difficultés d’accès aux droits et d’accès aux soins

– Informer et permettre une réflexion autour des thématiques liées aux spécificités culturelles de ce public et des solidarités familiales à l’oeuvre

– Saisir les enjeux et amorcer la réflexion sur les perspectives d’accompagnement de ce public »

 

Première table-ronde : « Femmes immigrées âgées : outils et recherche »

avec Valérie Wolff (sociologue), Bruno Michon (sociologue) et Zahra Simmou (Calima)

Deuxième table-ronde : « Retours d’expérience »

Muharrem Koç (ASTU), Intervenant de la CARSAT, Intervenant de la Ville de Strasbourg, Emilie Jung (Migrations Santé Alsace) et Mustapha El Hamdani (CALIMA)

 

Le programme en version PDF : plaquette séminaire calima (2)

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Fête de la réussite de l’ATMF Argenteuil

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L’ATMF organise une Fête de la Réussite, pour récompenser tous les jeunes Argenteuillais diplômés en 2015, le samedi 2 octobre à partir de 18h, à l’espace Nelson Mandela au 82 Bd du General Leclerc.

Un programme pleins de surprises attend les diplômés (et leurs parents !).

Pour s’inscrire : contacter Hayette au 01 39 80 45 40

Pour plus d’information : www.atmf-argenteuil.org

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Les 30 ans de l’ATMF Argenteuil !

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Après l’ATMF National en 2011, et l’ATMF Aix-en-Provence, c’est au tour de l’ATMF d’Argenteuil de fêter ses 30 ans, sur le thème  « 30 ans d’engagement et d’actions pour l’égalité des droits et la citoyenneté de résidence ». Du 2 au 17 octobre, l’association vous attend avec un programme riche, qui ravira petits et grands :

– 13e Fête de la Réussite, le 2 octobre

– Vernissage de l’exposition « Ceux qui marchent encore » par L’écho des Cités, le 6 octobre. Cette exposition sera visible jusqu’au 10 octobre, au « Au bout du Bar »

– Dîner spectacle avec musique, danse orientale et chant, le 9 octobre

– Tournoi de foot avec l’équipe de foot d’Argenteuil, le 11 octobre

– L’exposition « Ceux qui marchent encore » de L’écho des Cités à la bibliothèque Elsa Triolet, du 13 au 17 octobre

– Portes ouvertes à l’ATMF Argenteuil, le 14 octobre (petit-déjeuner, présentation des activités, atelier calligraphie, pot de l’amitié et gâteau d’anniversaire)

– Projection du film « Fatima », le 15 octobre

 

Pour obtenir tous les détails du programme, vous pouvez le télécharger en version PDF : Programme30ansVersion9

 

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Fête de la Fraternité à Aix

affiche définitive (1)

Plusieurs associations organisent conjointement la quatrième édition de Fête de la Fraternité, le samedi 19 septembre à Aix-en-Provence :

 

« …Les migrants qui fuient la terreur, la guerre, la faim dans leur pays et qui ne trouvent que la perdition en mer, ou les verrous des centres de rétention, puis le rejet vers leur pays d’origine…

Les crimes racistes, l’antisémitisme, les extrémismes de tous bords, les discriminations de toutes sortes, radicalisme, intolérance…

La peur de l’étranger, du voisin, de l’autre – différent de soi, simplement…

Le repli sur soi, fermeture égoïste, comme ultime tentative de se défendre contre l’entourage ressenti comme hostile…

Violence contenue, violence libérée, en réaction au mal-être, au mal-vivre…

…Face à tout cela des citoyens tentent de susciter l’ouverture, la compréhension, le partage,l’aide, la solidarité.

La Fête de la Fraternité est une manifestation initiée par la Ligue des Droits de l’Homme d’Aix-en-Provence qui l’organise en partenariat avec diverses associations dont le but est d’agir pour cette ouverture à une autre vision de l’humanité.

Aujourd’hui, malgré leurs proclamations de principe, nos dirigeants font preuve d’une frilosité révoltante pour apporter à ces milliers d’enfants, de femmes et d’hommes contraints de fuir leur pays au péril de leur vie, un accueil qui réponde aux droits élémentaires des êtres humains. Nous, nous voulons affirmer qu’un monde où l’on partage en frères, où l’on débat comme des frères, où l’on s’accueille et s’entraide – c’est possible.

Nous fêtons cette fraternité humaine »

 

Organisations participantes : Aix Solidarité, Amitié judéo-chrétienne, Association des Travailleurs Maghrébins de France, Amnesty International, ATTAC, Emmaüs, La Cimade, LICRA, Secours catholique, Secours populaire, UNICEF

Téléchargez le programme en PDF : Fête de la fraternitépdf

 

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Fête de la Fraternité à Aix-en-Provence

 

…Les migrants qui fuient la terreur, la guerre, la faim dans leur pays et qui ne trouvent que la perdition en mer, ou les verrous des centres de rétention, puis le rejet vers leur pays d’origine…
Les crimes racistes, l’antisémitisme, les extrémismes de tous bords, les discriminations de toutes sortes, radicalisme, intolérance…

 

Capture d’écran 2015-09-28 à 10.32.40
La peur de l’étranger, du voisin, de l’autre – différent de soi, simplement…
Le repli sur soi, fermeture égoïste, comme ultime tentative de se défendre contre l’entourage ressenti comme hostile…
Violence contenue, violence libérée, en réaction au mal-être, au mal-vivre…
…Face à tout cela des citoyens tentent de susciter l’ouverture, la compréhension, le partage,l’aide, la solidarité.
La Fête de la Fraternité est une manifestation initiée par la Ligue des Droits de l’Homme d’Aix-en-Provence qui l’organise en partenariat avec diverses associations, dont l’ATMF Aix-en-Provence, dont le but est d’agir pour cette ouverture à une autre vision de l’humanité.
Aujourd’hui, malgré leurs proclamations de principe, nos dirigeants font preuve d’une frilosité révoltante pour apporter à ces milliers d’enfants, de femmes et d’hommes contraints de fuir leur pays au péril de leur vie, un accueil qui réponde aux droits élémentaires des êtres humains. Nous, nous voulons affirmer qu’un monde où l’on partage en frères, où l’on débat comme des frères, où l’on s’accueille et s’entraide – c’est possible.
Nous fêtons cette fraternité humaine.

 

Cette année, la Fête de la Fraternité aura lieu samedi 19 septembre 2015, de 15h à 21h, au parc de la Mareschale

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Rassemblement en solidarité avec les migrants à Aix

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Le mardi 15 septembre, des dizaines de militants se sont réunis à Aix-en-Provence en solidarité avec les migrants et les réfugiés.
Asile ! C’est un droit !
Des ponts, pas des murs !
Solidarité avec les migrants et les réfugiés

                     RASSEMBLEMENT

MARDI 15 septembre à 18 heures
Place de l’Hôtel-de-ville

Aix-en-Provence

Ensemble, nous demandons :

–        que tous les réfugiés soient accueillis dans des conditions respectueuses de leur dignité

–        une suspension des accords de Dublin (qui imposent que la demande d’asile soit faite dans le pays d’arrivée, ce qui est irréaliste compte tenu du nombre de demandes) et leur révision

–        l’organisation d’un grand débat public sur la question des réfugiés

–        l’organisation par la ville d’Aix-en-Provence et les villages de la CPA, en liaison avec l’Etat, d’un accueil digne des réfugiés et migrants et leur accompagnement économique, social et sanitaire.

 

A l’appel de : Aix Solidarité, Amnesty International, Association des travailleurs maghrébins de France, ATTAC, CADTM, CFDT, CGT, Colibris Pays d’Aix, Ensemble, Europe Ecologie Les Verts, FSU, Jeunes socialistes, La Cimade, Le Repaire d’Aix-en-Provence, LICRA, Ligue des droits de l’Homme, Parti communiste français, Parti de Gauche, Partit occitan, Parti socialiste, Résister aujourd’hui, Sud Santé-Sociaux, Syndicat de la magistrature, Syndicat des avocats de France, Union Syndicale Solidaires.

 

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Cercle de silence à Aix-en-Provence

CERCLE de SILENCE d’Aix-en-Provence
comme tous les 2e samedi de chaque mois à Aix
samedi 12 Septembre 2015

de 11h30 à 12h.


sur la place de la Rotonde – du côté des allées provençales
afin de protester contre l’enfermement des étrangers, les conditions de cet enfermement
et les expulsions quotidiennes
que nous constatons au mépris total des droits fondamentaux de la personne.


Pour le groupe de coordination du cercle de silence d’Aix-en-Provence

Rappel : Le Cercle de Silence d’Aix-en-Provence est composé de citoyen (ne)s et de membres engagés individuellement au sein de divers mouvements et associations qui le soutiennent :
ACAT Aix, AIX-SOLIDARITE, AJC Amitié Judéo-Chrétienne Aix, AMNESTY International Aix, ASTI d’Aix-Marseille, ATMF Pays d’Aix, ATTAC Pays d’Aix, CADTM Aix, CCFD-Terre Solidaire Aix, CIMADE Pays d’Aix, EMMAUS Cabriès, ENTRAIDE de l’EPU l’Eglise Protestante Unie – Aix, FPPA Féminin Pluriel en Pays d’Aix, FRATERNITE FRANCISCAINE Aix, JRS France (Accueil Jésuite des Réfugiés) LDH Ligue des droits de l’homme Aix, MAIS International, OMI Missionnaires OBLATS Aix, PASTORALE DES MIGRANTS Aix, RELAIS ST DONAT, REPAIRE DU PAYS D’AIX, RESISTER Aujourd’hui, RESF13, SECOURS CATHOLIQUE Aix, SAF Syndicat des Avocats de France Aix.


 Aixoises, aixois,

Vous avez tous vu cet été les tragiques images qui témoignent du profond désespoir des personnes fuyant les zones de combat de la Syrie et de tous les autres lieux du monde où la vie est devenue trop risquée ou trop difficile pour y demeurer.

Ces personnes, familles, jeunes femmes, jeunes hommes, mineurs isolés, n’entreprennent évidemment pas des traversées et des voyages aussi périlleux sans de très solides raisons, ils sont tous déchirés d’avoir quitté leur pays et la plupart ne rêvent que d’une chose, revenir dès qu’il sera possible d’y mener une existence normale, la plus proche de ce qui est énoncé dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Et surtout, ne cherchons pas à juger leurs motivations, refusons cette volonté perverse de vouloir les trier, comme si la misère qui les pousse à tout quitter pouvait être quantifiée, soupesée, et pourquoi pas bientôt, numérisée. Refusons en particulier le détestable projet de créer des centres de sélection que certains voudraient installer à l’extérieur des frontières de l’Union Européenne. La liberté de circulation et la liberté d’établissement doivent être respectées et mises en œuvre.

Quels que soient nos horizons politiques ou philosophiques, notre premier devoir est de manifester une large ouverture d’esprit et de nous préparer à accueillir dignement ceux qui viennent ou viendront frapper à nos portes.

Nous allons devoir faire preuve de solidarité. N’hésitons pas à reconnaître, quelles qu’en soient les raisons, que la manière allemande de procéder ces derniers jours est un bon exemple à suivre.
En tant que citoyens nous pouvons bien entendu prendre des initiatives personnelles, certains le font déjà, des réseaux se mettent aussi en place au sein du tissu associatif régional, à chacun de s’engager à la mesure de ses affinités et de ses possibilités. Mais c’est au niveau des communes, les petites comme les grandes, que doivent se prendre les mesures structurantes pour un accueil efficace et bénéfique pour tous, les arrivants comme les résidents. Et l’Etat doit impérativement les aider à le faire.

Il y a donc une action citoyenne à mener pour que nos villes deviennent des « sanctuaires » – sans aucune connotation religieuse – au sens de la liberté d’installation, de la prise en charge bienveillante, du respect de l’altérité, au sens tout simplement de l’hospitalité telle que les sociétés humaines de toutes les cultures l’ont progressivement conçue, notamment les sociétés méditerranéennes.

Citoyens aixois, pour manifester cette volonté de voir Aix-en-Provence devenir une ville sanctuaire, nous vous convions à venir nombreux au cercle de silence qui se tiendra samedi prochain 12 septembre Place de la Rotonde, du côté des Allées Provençales, à partir de 11h30 et jusqu’à midi.

 

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Projection du film « Much loved » à l’ATMF Nancy

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L’ATMF Nancy, le Caméo et Diwan ont organisé la projection du film « Much Loved » de Nabil Ayouch. Le film aborde le thème de la prostitution. Il a fait couler beaucoup d’encre et a été interdit de diffusion au Maroc. Le réalisateur et l’actrice sont poursuivis en justice et nous assistons à un véritable lynchage médiatique. Tous les deux présents lors de la projection, ils ont pu échanger avec le public, dans le respect du débat démocratique et de la liberté d’expression.

 

« Marrakech, aujourd’hui. Noha, Randa, Soukaina et Hlima vivent d’amours tarifées. Ce sont des prostituées, des objets de désir. Vivantes et complices, dignes et émancipées, elles surmontent au quotidien la violence d’une société qui les utilise tout en les condamnant. »

Source : allocine.fr