Association des Travailleurs Maghrébins de France
10 rue Affre - 75018 Paris
01 42 55 91 82 national@atmf.org

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Présentation de l’ATMF National

L’ATMF National est une fédération de 17 associations réparties sur le territoire.

C’est une association laïque, démocratique et indépendante qui œuvre pour l’égalité des droits entre français et immigrés et pour la citoyenneté de résidence.

Notre action se base sur le militantisme, le bénévolat et un professionnalisme nourri par une connaissance réelle des besoins des populations, grâce à notre présence sur le terrain.

L’ATMF a été créée le 19 Janvier 1982, après l’abrogation en Octobre 1981 du décret pétainiste interdisant aux immigrés de s’organiser en association.

L’ATMF plonge ses racines dans les grandes luttes qui ont marqué l’histoire de l’immigration :

– Soutien aux mouvements de libération des pays du Maghreb.

– Luttes syndicales pour la dignité et les droits des travailleurs immigrés

– Luttes des travailleurs immigrés pour un logement décent et contre les marchands de sommeil privés et institutionnels comme les foyers
SONACOTRA.

– Mobilisations contre le racisme et la xénophobie

– Luttes contre la double peine.

– Mobilisations contre les lois anti-immigrés

L’ATMF s’est fixée comme objectifs :

– Organiser la communauté maghrébine et au delà, dans un cadre associatif propice à l’émergence d’une citoyenneté active.

– Combattre le racisme et toute forme d’extrémisme ou de rejet pour une meilleure compréhension entre les populations immigrées, européennes et au-delà.

– Faire face collectivement aux problèmes liés au logement, travail, chômage, école, discriminations…

– Travailler en partenariat avec des acteurs associatifs et institutionnels pour favoriser une égalité de traitement des personnes.

– Renforcer la solidarité entre les pays des deux rives de la Méditerranée pour l’émergence d’une démocratie réelle.

– Conduire des projets et réaliser des actions visant à favoriser l’accès aux droits, à la citoyenneté, à l’insertion des populations issues de l’immigration.

C’est autour de ces conceptions et préoccupations citoyennes que s’inscrit l’action de l’ATMF et les 14 associations membres de l’ATMF National

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L’ATMF publie un document bilingue pour l’Egalité entre Anciens Combattants

=http://www.atmf.org/spip.php?article58

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Algérie : Condamnation du caricaturiste Ali Dilem

=http://www.rsf.fr/article.php3?id_article=8872Reporters sans frontières dénonce la peine de quatre mois de prison avec sursis prononcée le 23 décembre par le tribunal d’Alger à l’encontre d’Ali Dilem, caricaturiste du quotidien Liberté.

 » Nous dénonçons, une nouvelle fois, l’utilisation abusive de l’article 144 bis du code pénal par les autorités algériennes qui, sous couvert de diffamation, visent à faire taire la presse privée, jugée trop irrévérencieuse. Le pouvoir politique cherche ainsi à briser la plume d’un des caricaturistes les plus mordants de la presse algérienne « , a déclaré Robert Ménard, secrétaire général de Reporters sans frontières.

Ali Dilem a été condamné pour diffamation, en vertu de l’article 144 bis du code pénal amendé, à une peine de quatre mois de prison avec sursis, et à une amende de 100 000 dinars (environ 1 200 euros), dans une affaire l’opposant au ministère de la Défense nationale. Abrous Outoudert et Hacène Ouandjeli, respectivement ex-directeur de publication et ex-directeur de la rédaction ont été condamnés dans la même affaire à verser une amende de 50 000 dinars (environ 600 euros) chacun. La caricature incriminée, datée du 3 avril 2002, mettait en scène un drame survenu la veille, quand 21 militaires avaient été victimes d’un faux barrage dressé par deux terroristes. Elle était légendée  » Le code pénal protège les généraux, pas les soldats « . Le ministère de la Défense avait jugé diffamatoire cette caricature. Pour l’avocat d’Ali Dilem, Maître Bourayou, ce verdict est particulièrement sévère.  » On veut non seulement le condamner, lui, mais aussi cette forme d’expression « , a-t-il déclaré au quotidien Le Matin.

L’article 144 bis du code pénal prévoit des peines de deux à douze mois de prison et des amendes allant de 50 000 à 250 000 dinars (environ 600 à 3 000 euros) pour toute mise en cause du président de la République dans des termes injurieux, insultants ou diffamatoires. Ces sanctions visent également les mêmes délits lorsqu’ils sont commis à l’encontre du « Parlement ou de l’une de ses deux Chambres, ou de l’ANP (l’Armée nationale populaire)« .

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Les dessous de l’affaire CHRIII

=http://www.telquel-online.com/104/sujet2.htmlLa police d’un côté et les dealers de drogue de l’autre. Entre les deux, il y a l’AMDH, ONG des droits de l’homme. Secouez le tout et vous obtenez le cocktail Chrii, dont l’un des principaux bourreaux passe actuellement en jugement à Safi. Par Karim Boukhari

Mohamed Rachid Chrii n’en démord pas. Du fond de sa cellule à Al-Adr, près d’El-Jadida, il a rédigé un nouvel appel à l’occasion de l’anniversaire, le 10 décembre prochain, de la déclaration mondiale des droits de l’homme. « J’entamerai, écrit Chrii, une grève de la faim les 9, 10 et 11 décembre pour protester contre mon enlèvement et la torture que j’ai subie, et je demande l’ouverture d’une enquête concernant mes ravisseurs et tortionnaires. Et ma libération immédiate et inconditionnelle en tant que détenu politique ». Cet appel coïncide avec le lancement d’une pétition internationale en faveur de Chrii (solidariterachid@yahoo.fr), à l’appel de solidarité de plusieurs députés européens qui ont adressé, le 26 novembre, un courrier en ce sens au Premier ministre, Driss Jettou, mais aussi au « réveil » d’importantes organisations de droits de l’homme comme Amnesty ou la FIDH qui, à leur tour, en sont venues à inclure Chrii parmi les détenus d’opinion au Maroc. Comme nous l’a confirmé un ami de Chrii, joint à Safi, « Rachid n’est plus seul. Son calvaire a souffert de la concomitance des événements du 16 mai et du procès d’Ali Lmrabet. Résultat, on a quelque peu oublié Chrii. Mais la tendance commence à s’inverser et ce n’est que justice ». Avant de devenir une affaire nationale, le cas Chrii a d’abord été une affaire locale. À Safi, la condamnation du militant à 18 mois de prison ferme assortie de 4000 DH d’amende a d’abord provoqué la colère des habitants de son quartier, Saniat, l’un des faubourgs de la ville. De pétitions en sit-in, ses voisins ont été rejoints dans leur mouvement de protestation par ses collègues de travail, ses amis de l’AMDH et d’Attac. Mais aussi par les sections locales de la CDT, de l’UMT, de la GSU, etc. Même les islamistes du PJD et d’Al-Adl Wal Ihsane ont manifesté, tôt, leur solidarité à cet homme dont l’histoire a réellement marqué l’année 2003
Qui est Rachid Chrii ? Un jeune homme de 38 ans, célibataire, employé communal, qui vit tranquillement avec sa mère et son frère cadet. Dans les années 90, et à la faveur du réveil du Maroc aux droits de l’homme, il rejoint logiquement la section locale de l’AMDH. « À Safi, nous raconte M. Mribeh, membre de cette même section, la police et les militants se livraient pratiquement une guerre de tranchées ». Comment et pourquoi ? « La paupérisation de la ville, poursuit Mribeh, a multiplié le chômage et donné un coup de fouet aux trafics en tous genres. La police judiciaire avait beaucoup de boulot, mais elle n’y allait pas de main morte avec les dealers ou supposés tels. Nous, à l’AMDH, on croulait littéralement sous les témoignages et les plaintes contre des pratiques barbares. Tel dealer se plaignait avoir été soumis au supplice dit de la bouteille, tel autre disait qu’on le rackettait ou qu’on l’obligeait à collaborer avec des éléments de la police. Sans parler des ouvriers victimes de mesures abusives, des habitants coupés d’eau ou d’électricité, etc ». L’AMDH, réceptacle de toutes ses doléances, haussait le ton et multipliait les réclamations, notamment auprès du procureur de la ville. En face, la police faisait du nettoyage à sec avec ses moyens, ses méthodes, ses hommes. Chrii, lui, était au cœur de ce combat. Issu d’un quartier pauvre, il connaissait les dealers et le citoyen lambda qui, en retour, lui vouaient, d’après plusieurs témoignages recueillis sur place, un grand respect. « Chrii, nous raconte une source policière à Safi, nous empêchait de faire correctement notre boulot de nettoyage. En s’interposant contre l’arrestation ou la brutalisation d’un suspect, il enflammait les foules et menaçait le respect dû aux forces de l’ordre ».
Tout est parti de là. « Un jour, nous explique une source à l’AMDH, nous sommes allés voir le procureur général de la ville pour nous plaindre des agissements d’un officier connu pour son non-respect des droits les plus élémentaires des individus. Les témoignages de torture accablant ce policier abondaient. La réponse du procureur a été : ‘cet élément est brillant, il compte parmi les meilleurs affectés à la sécurité et à l’ordre dans cette ville…' ». Dialogue de sourds et fin de non-recevoir. En 1999, déjà, Chrii est arrêté dans le cadre de son activisme de rue « pour outrage à agent de l’État ». Il est relaxé faute de preuves. Quelque temps plus tard, le policier le plus montré du doigt, un certain M.B, élément de la brigade des stups, est muté loin de Safi. Le soulagement de l’AMDH ne sera que de courte durée puisque, quelques mois plus tard, débarque, de Marrakech, un nouvel officier : Abdelmajid Aït Adraoui, aujourd’hui une célébrité dans la ville. « Adraoui, nous raconte Mribeh, est un adepte de la manière forte. Il mène son combat contre les dealers et les militants, de la même manière : inhumaine. Il a vite fait de repérer Chrii. Le reste n’était plus, apparemment, qu’une question de temps ». Fin 2002, Chrii conduit la délégation de l’AMDH qui enquête sur les pratiques subies par certains détenus à la prison civile de Safi. Un enregistrement visuel existe, où l’on voit le militant et ses amis, prendre la parole et la redonner aux familles des détenus. « Au-delà des conditions générales de détention, explique aujourd’hui encore Chrii, c’est contre la torture et les mauvais traitements que plusieurs détenus, dont beaucoup des dealers, se plaignaient et se plaignent encore ». Le 21 avril 2003, au bout d’une énième échauffourée ente les forces de l’ordre et les habitants (dealers et « gens normaux ») du quartier Saniat, Chrii est interpellé. « On m’a enlevé sur le chemin de mon travail, à la commune. On m’a séquestré dans une maison avant de m’envoyer au poste de police. Bandeau sur les yeux, on m’a insulté, frappé, torturé, et violé à l’aide d’un bâton surmontant une bouteille de limonade. Mes tortionnaires me disaient : tu croyais éternellement nous échapper ? Te voilà entre nos mains, et cette fois, tu l’auras dans le… ». Chrii le dira, et le confirmera par écrit : « J’ai pu reconnaître distinctement mes tortionnaires : Abdelmajid Aït El-Adraoui, Abdellah Maghari, Jalal Mustapha, Hassan Fedouach, Fettah Atouani, Rachid (le conducteur de la voiture au bord de laquelle j’ai été kidnappé) ». Aït Adraoui est du lot, mais aussi un certain Hassan Fedouach, « un presque voisin de quartier de Chrii », nous précise Mribeh. Le procès de Chrii s’ouvre, début mai, sur un coup de théâtre : le militant est accusé d’outrage et violence contre fonctionnaires, de tentative de faire évader un criminel, de rébellion… et de trafic de drogue. Chrii et ses avocats, dont un bataillon drainé des quatre coins du pays (conduit par le vétéran Abderrahman Benameur), contre-attaquent. Me Tarik se souvient : « J’ai vu Rachid dans sa cellule, il a baissé son pantalon, il n’avait pas de slip puisqu’ils l’avaient confisqué pour l’humilier ». Les audiences se déroulent dans une tension extrême. Manifestations de rues, pancartes et banderoles, interdiction de mettre le pied dans l’enceinte du tribunal, etc. Mais le verdict tombe comme un couperet : Chrii est condamné à 18 mois de prison ferme et 4000 DH d’amende. Il demandera et obtiendra une contre-expertise médicale pour prouver qu’il a été violé. « Les résultats de l’expertise médicale, nous révèle une source judiciaire, prouvent que Chrii portait des marques de traumatismes divers sur le corps. Mais rien ne prouve que ces marques ne sont pas consécutives à une bagarre… ». Classique. « J’ai été victime de la bouteille, explique aujourd’hui encore, de vive voix, Chrii. Cette pratique existe encore et je ne suis pas le seul à l’avoir connue… ».
Le 16 mai jette une chape de plomb sur le bouillonnement qui entourait le cas Chrii. Ses grèves de la faim, ses appels, les protestations officielles de ses amis et compagnons de route obtiendront un écho inattendu : un transfert loin de Safi, vers la prison de Ben Ahmed, ensuite à El-Adr près d’El-Jadida parmi les prisonniers de droit commun : « C’est une vengeance contre moi, contre ma mère et mes amis obligés de parcourir des centaines de kilomètres pour me voir ».
Pendant que Chrii continue d’explorer les échelles descendantes de la vie carcérale, la guerre des tranchées continue de sévir à Safi. Abdelmajid Aït Adraoui, pour ne citer que lui, fait toujours parler de lui. Écoutons ce dirigeant de l’AMDH : « Aït Adraoui traîne une affaire judiciaire derrière lui. Un ancien détenu, Rabiî Joudar, a porté plainte contre lui, pour sévices corporels. L’histoire a commencé en 2002, déjà. Mais ce n’est qu’à la rentrée 2003 que le procès a réellement démarré. La prochaine audience est attendue pour le 25 décembre ». En attendant, l’officier de police se fait tout discret…

TelQuel, vendredi 19 décembre 2003

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Pétition internationale pour la libération de Mohamed Rachid Chrii

Nous, signataires, préoccupés par l’avenir de la démocratie dans le monde en général et au Maroc en particulier, demandons instamment aux autorités marocaines la libération Mohamed Rachid Chrii et qu’un terme soit enfin mis aux arrestations arbitraires et aux condamnations pour délits d’opinion.

Nom/Prénom/Qualité/Pays….

ENVOYEZ VOS SIGNATURES A L’ADRESSE SUIVANTE :
solidariterachid@yahoo.fr

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Le journaliste Ali Lamrabet demande une enquête sur ses conditions de détention

Ali Lmrabet

Prisonnier d’opinion

N° d’écrou 91035

Prison locale de Salé

Salé, le 25 décembre 2003

Le ministre de la justice, Mohamed Bouzoubaa, a commis lors de l’émission « Fil wajiha » de Malika Malak, sur 2M le mercredi 24 décembre, une grave manipulation de la vérité qui en dit long sur l’honnêteté intellectuelle et morale de cette personnalité publique.

Comme je n’ai pas les moyens de l’état pour monter des coups tordus et que mon champ d’explication est limité en raison de ma séquestration « légale », je vais aller droit au but. Et tant pis pour les formes, l’important est de présenter les arguments autrement plus convaincants que les mensonges d’un ministre de la justice dont le département croule sous le discrédit et l’abus de pouvoir envers ses propres fonctionnaires.

1- Monsieur Bouzoubaa s’intéresse à ma santé. Il l’a qualifie même d’ « excellente ». Je ne sais pas comment le ministre peut avancer cela, puisque la seule fois ou j’ai été ausculté par un médecin en 25 jours de grève, c’était le mardi 23 décembre. Ce jour-là le médecin de la prison a diagnostiqué un début de problème de fonctionnement des deux reins et de la vessie et m’a prescrit un traitement. Le ministre parle d’un « rapport ». De quel rapport s’agit-il ? il a été signé par qui ? Et quand ? La provenance de ce « rapport » ne serait-elle pas la DST, qui fait la pluie et le beau temps à la prison de Salé ?
Monsieur le ministre chante que je reçois de la visite. Bien sur ! Tant que je tiens le coup et que je peux marcher, je ne m’aliterais pas. Je ne sais pas jouer la comédie. Et si Mr Bouzoubaa avait fait, une fois au moins dans sa vie, une grève de la faim, il saurait qu’on peut tenir debout, sauf complications, jusqu’à 40 jours.
Je suis sur que l’opinion publique n’est pas dupe, et qu’elle sait reconnaître le vrai militant prêt à mettre en danger sa santé pour se défendre, du marchand qui commerce avec le droit pour s’enrichir et sait comment plier devant la clique sécuritaire qui gouverne le Maroc, pour préserver son strapontin ministériel.

2- Monsieur Bouzoubaa a déclaré triomphalement lors de l’émission « Fil Wajiha », que l’autre journaliste détenu, Mohammed Lhourd, lui aurai envoyé une lettre dans laquelle il assure que je ne fais l’objet d’aucun harcèlement de la part de l’administration pénitentiaire.
Premièrement, il faudrait se demander si Mr Lhourd a réellement écrit cette lettre, puisque l’intéressé nie véhément et parle de « manipulation de l’administration pénitentiaire ». Jeudi 25 décembre, au matin, il était en train de publier un démenti.
Deuxièmement, et c’est là ou il y a réellement mystère, si M. Lhourd a vraiment signé cette lettre (sous la pression ou en échange de promesses de libération), il faudrait qu’il explique pourquoi il a signé avec moi, de sa propre lettre et signature, plusieurs communiqués et courriers dans lesquels sont détaillées toutes les misères que nous fait subir l’administration pénitentiaire. D’ailleurs, lors de la visite d’une délégation du Conseil consultatif des droits de l’homme (CCDH), j’ai remis personnellement à Mr Aziz El ouadie l’original d’une plainte adressée à Mr Azziman, et dans laquelle on détaillait l’agression dont j’ai été victime par un gardien-chef. C’était le 11 décembre dernier et la lettre était signée par M. Lhourd. Difficile de nier l’évidence.
Manifestement, il y a un problème. Ou bien le ministre de la justice ment et manipule les faits pour protéger les fonctionnaires qui ont mission de me harceler tant que je continue à écrire et à publier ; ou bien c’est Mohamed Lhourd qui ment en échange de je ne sais quelle promesse.
Cet épisode prouve que Mohamed Bouzoubaa et ses maîtres sont capables de tout. Ils sont prêts à travestir les faits, les manipuler ou utiliser un journaliste contre un autre dans le seul but de ne pas perdre la face ou cacher leurs tares.
Plus que jamais, j’exige une commission d’enquête puisqu’il n’y a pas que Mohammed Lhourd comme témoin, d’autres détenus sont disposés à le faire.
Il faut qu’il y ait une commission médicale, une vraie, et non pas une fantôme que personne n’a vu, pour évaluer mon état de santé.
Il faudrait aussi que cessent les persécutions et que ma condition de prisonnier d’opinion me soit reconnue, ouvrant ainsi la voie à l’amélioration de mes conditions de détention.

Ali Lmrabet

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Déclaration à l’occasion de la journée internationale des Migrants

=http://www.atmf.org/spip.php?article124

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Anciens Combattants : L’ATMF mène une campagne d’information et de mobilisation au Maroc du 1er au 26 déc. 2003

=http://www.atmf.org/spip.php?article122

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CALENDRIER DES PROCHAINES ELECTIONS

1- Elections régionales et cantonales
QUI ELIT-ON ?
Conseillers régionaux et généraux
DUREE DU MANDAT :
6 ans (5 ans à partir de 2004)
DATE : 21 & 28 mars 2004

2- Elections européennes
QUI ELIT-ON ?
Députés européens
DUREE DU MANDAT :
5 ans
DATE : 13 juin 2004

3- Elections municipales
QUI ELIT-ON ?
Conseillers municipaux
DUREE DU MANDAT :
6 ans
DATE : mars 2007

4- Elections législatives
QUI ELIT-ON ?
Députés
DUREE DU MANDAT :
5 ans
DATE : 1er semestre 2007

5- Elections présidentielles
QUI ELIT-ON ?
Président de la République
DUREE DU MANDAT :
5 ans
DATE : 1er semestre 2007

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ATMF de Strasbourg : CAMPAGNE D’INSCRIPTION SUR LES LISTES ELECTORALES POLITIQUES

Pour une véritable représentation politique de toutes les composantes de la société sans discrimination

« La France, c’est comme une mobylette, il lui faut du mélange pour qu’elle marche » Slogan de la marche à mobylette de 1984

Pour accomplir son devoir de citoyen, L’inscription sur les listes électorales est obligatoire. Elle est indispensable pour pouvoir voter

Depuis l’intervention de la loi du 10 novembre 1997, les personnes qui atteignent l’âge de 18 ans, sous réserve qu’elles remplissent les autres conditions prescrites par la loi pour être électeurs, sont inscrites d’office sur la liste électorale de la commune de leur domicile réel.

CONDITIONS A REMPLIR POUR ETRE INSCRIT SUR UNE LISTE ELECTORALE

· Etre de Nationalité française
· Etre âgé de 18 ans accomplis
· Jouir de ses droits civiques et politiques
· Justifier de son attache avec la circonscription du bureau de vote, soit au titre de domicile, soit au titre de contribuable :
Inscription sur commande
Les inscriptions sont recevables dans les mairies, pendant toute l’année jusqu’au dernier jour ouvrable de décembre inclus.
Les demandes sont déposées, en principe, par les intéressés eux-mêmes. Toutefois, elles peuvent être :
· soit adressées par correspondance
· soit présentées par un tiers dûment mandaté
Précautions à prendre
Les fichiers des jeunes de 18 ans pouvant actuellement être incomplets, il est préférable que vous vous renseigniez auprès da la mairie , pour vérifier que vous êtes bien inscrit.

Cas particulier
Si vous avez acquis la nationalité française, vous devez également présenter un certificat de nationalité ou le décret de naturalisation.

Vous ne pouvez vous déplacer
Si vous êtes dans l’impossibilité de vous déplacer, vous pouvez remettre une procuration établie sur papier libre à quelqu’un.

Pour tout renseignement :

contacter le centre administratif, 1, place de l’Etoile. Tél. 03 88 60 95 27