Association des Travailleurs Maghrébins de France
10 rue Affre - 75018 Paris
01 42 55 91 82 national@atmf.org

By

Pour les libertés et le respect des droits de l’homme en Tunisie

A quelques semaines de la tenue du Sommet mondial de la société de l’information (SMSI), prévu en Tunisie du 16 au 18 novembre prochain, l’offensive du régime tunisien contre les libertés fondamentales ne cesse de s’intensifier.

Ainsi, les réunions des sections de la ligue Tunisienne pour la défense des Droits de l’Homme ont été interdites, des militants ont même été empêchés de quitter leurs domiciles, tandis que d’autres ont subi des passages à tabac en règle par la police.

Ceci intervient dans un climat de répression policière généralisée, marqué ces derniers temps par l’interdiction de la tenue du congrès de LTDH, de celui du syndicat des journalistes, ainsi que par l’offensive contre l’association des magistrats et le harcèlement des avocats comme en témoigne l’emprisonnement de maître Abbou.

Dans ce pays qui s’apprête à accueillir un sommet sur la société de l’information, la presse est muselée, Internet est sous haute surveillance, et des dizaines de jeunes tunisiens, à l’instar des internautes de Zarzis, se retrouvent arbitrairement arrêtés, torturés dans les locaux de la police et ensuite condamnés sans preuve à de lourdes peines, leur seul crime est de s’être connectés sur internet.

Nous avons le plaisir de vous inviter à une conférence débat avec :

– L’intervention de Maître Mokhtar Trifi président de la ligue Tunisienne pour la défense des Droits de l’Homme.

– Les témoignages de Téresa Chopin Mère de Omar Chlendi, jeune internaute tunisien condamné à 13 ans de prison et de Samia Abbou épouse de Mohamed Abbou avocat et défenseur des droits de l’Homme, condamné à 3 ans et demi de prison.

CONFERENCE DEBAT
LE MARDI 25 OCTOBRE 2005 A 19H 30
Maison des associations, 1A, place des orphelins. Strasbourg

De 15 à 16h30, conférence débat sur les droits de l’Homme en Tunisie au parlement européen, en présence des députés et journalistes

By

Manifestation : Pour le droit au logement pour tous, sans discrimination

Les incendies meurtriers dans des immeubles de mal-logés parisiens ont révélé le caractère dramatique de la crise du logement et la persistance des discriminations dans l’accès au logement.

Nous ne pouvons plus accepter que les hommes et les femmes dans notre pays ne puissent trouver le logement décent et stable pour vivre dignement, qu’ils soient salariés ou au chômage, jeunes, étrangers, résidents de foyer, handicapés, sans-papier, retraités, parents isolés, sans logis, artistes, …

Des locataires et habitants sont chassés de leur logement et de leur quartier par la spéculation, la flambée des loyers, la rénovation urbaine, les démolitions HLM, les ventes à la découpe, la précarité. L’insuffisance de logements sociaux est dramatique.
Une loi sur le logement en préparation menace d’aggraver encore la situation, en particulier dans le logement social.

Il faut remettre les associations, organisations syndicales et politiques soussignées appellent à unir les efforts :

Tous ensemble manifestons
Samedi 15 octobre à 14 H de République
à Stalingrad

• Pour l’arrêt de toutes les expulsions, pour la réquisition et la réhabilitation des logements vacants, pour enrayer la spéculation immobilière, foncière et les ventes à la découpe, pour le relogement immédiat des habitants d’immeubles et locaux dangereux et insalubres .

• Pour le gel des loyers et des charges, pour la revalorisation des allocations logement.

• Pour la construction massive de vrais logements sociaux et la mobilisation dans ce but de tous les patrimoines fonciers et immobiliers publics, dont ceux de l’Etat.

• Contre la marchandisation du logement social : gel des démolitions, arrêt de la vente des logements sociaux, blocage de la déréglementation des loyers HLM, de la remise en cause des modes de financement (livret A), arrêt de la privatisation des bailleurs sociaux, de la mise en cause du statut des HLM et de leurs locataires, retour à la vocation sociale de tous les logements publics (SCIC..).

• Création d’un service public du logement, géré démocratiquement, disposant de financements prioritaires de l’Etat, pour loger chacun et chacune décemment, garantissant la mise en œuvre du Droit au logement opposable sur tout le territoire de notre pays.

Premiers signataires : ACDL, AITEC, AFVS, Alternatifs, Alternative Citoyenne, Alternative Libertaire, APEIS, ATMF, ATTAC, CADAC, CDSL, CGT-CDC, CGT-Services Publics, CGT-CP Travailleurs Sociaux, CGT OPAC 75, CNDF, CNL, CSF, Col. Féministe pour l’égalité, Col. des locataires découpés, Col. exil 10, Col. logement 95 est, Col. du théâtre de verre, Coord. Anti Démolitions HLM IdF, Coord. contre les expulsions, COPAF, DAL, Droits Devant !!, FASTI, FSU, GISTI, Groupe CACR, HSD, Indigènes de la République, LCR, LO, Marche mondiale des femmes, MRAP, Ne pas plier, PCF, RESOCI, SNES, Sud Étudiant, Survie, Syndicat de la Magistrature, Syndicat de la Médecine Générale, UFAL Paris centre, US Solidaires, Verts 75 …

By

Manifestation pour le droit au logement pour tous, sans discrimination

Tous ensemble manifestons

Samedi 15 octobre à 14 H de République

à Stalingrad

By

Polémique Maroc-Polisario sur les clandestins refoulés

samedi 15 octobre 2005, 15h26
ALGER/RABAT (AP) – Une polémique oppose le Maroc au Front Polisario sur le sort des clandestins refoulés des enclaves espagnoles de Melilla et Ceuta. Le mouvement sahraoui accuse Rabat d’expulser les immigrés vers le désert algérien, ce que le royaume chérifien a vivement démenti en parlant de « manipulation ».

Dans une dépêche diffusée vendredi après-midi par l’agence officielle MAP, le Maroc accuse le Polisario et l’Algérie, « sans scrupule aucun et avec une impudeur sans égale », d' »instrumentaliser (…) de manière mensongère un drame que les voisins de l’est du Maroc ont largement contribué à nourrir en faisant des frontières une véritable passoire pour les migrants clandestins », selon le ministère marocain de l’Intérieur.

Des accusations pourtant renouvelées samedi par le représentant du Polisario à Alger, Mohamed Beïssat. Dans un entretien à l’Associated Press, il a affirmé que « le phénomène va prendre de l’ampleur dans les prochains jours, car il y a entre 800 et 1.000 émigrés que les autorités marocaines ont expulsé par voie terrestre ».

Selon lui, les clandestins découverts cette semaine dans le désert « étaient dans un état d’épuisement avancé » et portaient « des traces de sévices corporels » infligés par les militaires marocains. « Nous leur avons donné de la nourriture, des vêtements et les premiers soins, mais (…) nos modestes moyens ne nous permettent pas de les prendre en charge pour longtemps », a ajouté M. Beïssat. AP

By

Maroc: poursuite des expulsions de clandestins africains

samedi 15 octobre 2005, 19h15
RABAT/ALGER (AP) – Sur fond de polémique avec le Polisario, les autorités marocaines poursuivaient samedi les opérations de refoulement de clandestins sénégalais et maliens en direction de leurs pays respectifs après que ces derniers ont tenté de s’infiltrer dans les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla.

Tôt samedi, deux Boeing 737 de la Royal Air Maroc ont décollé de la base militaire de Goulimine (800km au sud de Rabat) en direction de Dakar et de Bamako. Deux autres vols à destination des capitales sénégalaise et malienne sont prévus dans la soirée.

Des consultations entre les autorités marocaines et les gouvernements de plusieurs autres pays d’Afrique subsaharienne ont permis de trouver un accord pour le refoulement de clandestins de nationalités camerounaise, gambienne, nigériane ou guinéenne, apprend-on de source gouvernementale.

« Il s’agit de négociations dans le cadre de la bonne coopération sud-sud entre pays africains en développement dont fait partie le Maroc », a-t-on précisé de même source à l’Associated Press. Les clandestins présents sur le territoire marocain en provenance d’Afrique subsaharienne représentent une quarantaine de nationalités.

Ces opérations de refoulement devraient commencer en début de semaine prochaine à partir de la base militaire de Bou-Izakarn (40km au nord-est de Goulimine). Au total, près de 1.600 ressortissants sénégalais et maliens ont été refoulés par avion dans leurs pays respectifs depuis la mise en place d’un pont aérien à partir de la ville d’Oujda (nord-est) en début de semaine.

Ces opérations se déroulent sur fond de polémique entre le Maroc et le Front Polisario sur le sort des clandestins refoulés. Le mouvement sahraoui accuse Rabat d’expulser certains des immigrés vers le désert algérien, ce que le royaume chérifien a vivement démenti en parlant de « manipulation ».

Dans une dépêche diffusée vendredi après-midi par l’agence officielle MAP, le Maroc accuse le Polisario et l’Algérie, « sans scrupule aucun et avec une impudeur sans égale », d' »instrumentaliser (…) de manière mensongère un drame que les voisins de l’est du Maroc ont largement contribué à nourrir en faisant des frontières une véritable passoire pour les migrants clandestins », selon le ministère marocain de l’Intérieur.

Des accusations pourtant renouvelées samedi par le représentant du Polisario à Alger, Mohamed Beïssat. Dans un entretien à l’Associated Press, il a affirmé que « le phénomène va prendre de l’ampleur dans les prochains jours, car il y a entre 800 et 1.000 émigrés que les autorités marocaines ont expulsé par voie terrestre ».

Selon lui, les clandestins découverts cette semaine dans le désert « étaient dans un état d’épuisement avancé » et portaient « des traces de sévices corporels » infligés par les militaires marocains. « Nous leur avons donné de la nourriture, des vêtements et les premiers soins, mais (…) nos modestes moyens ne nous permettent pas de les prendre en charge pour longtemps », a ajouté M. Beïssat. AP

By

Nous avons été au Rassemblement du 14 octobre devant l’ambassade du Maroc à Paris

=http://www.atmf.org/spip.php?article600

By

Course contre la montre de l’ONU pour retrouver des Africains dans le désert

jeudi 13 octobre 2005, 16h06

RABAT (Maroc) (AFP) – L’ONU était engagée jeudi dans une course contre la montre pour retrouver des Africains affirmant être sans eau après avoir été lâchés lundi par les forces marocaines dans le désert du Sahara occidental, alors que les expulsions par avion se poursuivait à partir d’Oujda.

Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) est « très préoccupé » par le sort d’un groupe de migrants africains abandonnés par les forces marocaines dans le désert du Sahara occidental et qui ont lancé jeudi un cri de détresse.
« Nous sommes très préoccupés. Nous voulons savoir ce qui se passe », a indiqué à l’AFP une porte-parole du HCR, Astrid Van Genderen Storp, jointe à Genève par téléphone depuis Rabat.

« L’accès est très difficile. Nous sommes en contact avec l’organisation Médecins sans frontières, des ONG espagnoles sur place ainsi que les autorités marocaines et algériennes », a-t-elle ajouté.

« La Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO) est à la recherche de subsahariens dans le désert », a précisé Mme Van Genderen Storp.

Le HCR s’intéresse à trois endroits. « Un groupe se trouve peut-être à proximité de la ligne du cessez-le-feu, à 15 km au sud de Smara », croit savoir la porte-parole du HCR. Par ailleurs, une équipe du HCR se trouve près de Nouâdhibou, la dernière ville mauritanienne avant la frontière avec le Sahara occidental. Une dernière équipe pourrait se rendre près de Guelmim, où sont regroupés des bus de migrants africains.

« Nous n’avons plus d’eau. Nous allons mourir », a affirmé par téléphone un Malien abandonné dans le désert, joint par l’AFP au téléphone. Il assure faire partie d’un groupe d’une trentaine de personnes, qui se partage un seul téléphone portable. Le groupe dit avoir été abandonné par les forces marocaines lundi soir dans le désert, après être passé par Smara, dans le Sahara occidental.

Par ailleurs, selon une source des services de sécurité marocaine, 304 émigrants clandestins qui avaient été convoyés lundi à Dakhla, dernière grande agglomération du Sahara occidental avant la Mauritanie, étaient dirigés en bus vers le camp militaire de Bou Izakarn (150 km au sud d’Agadir).

Dans cette position de l’armée marocaine se trouvent déjà 800 émigrants clandestins arrivés en début de semaine et qui attendent de savoir vers où ils vont être dirigés.

Par ailleurs, une journaliste de l’AFP a vu arriver mercredi en fin d’après midi dans un poste de garnison de Guelmim, deux cents Africains à bord de quatre bus. L’un d’eux, un Sénégalais, a déclaré qu’il venait de la région proche de l’enclave espagnole de Melilla.

Un responsable de la sécurité marocaine a affirmé mardi soir qu’il y avait eu « une erreur d’aiguillage » et que le Maroc avait renoncé à ce projet pour éviter toute discorde avec la Mauritanie.

D’après une source sécuritaire mauritanienne, Nouakchott avait exprimé mardi des réticences à recevoir les émigrants refoulés du Maroc à bord d’autocars « sauf preuves matérielles de leur transit par le territoire mauritanien ».

Enfin les refoulements se poursuivaient à partir d’Oujda (nord-est). Selon le préfecture, 689 Sénégalais ont déjà quitté le Maroc pour leur pays à bord de cinq avions et il en restait 93 qui devraient partir dans la soirée.

Par ailleurs, 296 Maliens ont regagné mercredi Bamako et 500 autres devraient les suivre jeudi, à bord d’appareil marocains et d’autres affrétés par l’Organisation Internationales des Migrations.

By

Le Maroc expulse une centaine d’immigrés clandestins maliens

Jeudi 13 octobre 2005, 15h23

OUJDA, Maroc (AP) – Le Maroc a expulsé jeudi matin un nouveau groupe d’immigrés clandestins maliens, après les tentatives désespérées de nombreux Africains de gagner les enclaves espagnoles Ceuta et Melilla depuis le sol marocain.

Environ 140 jeunes hommes ont embarqué à bord d’un avion affrété sur l’aéroport d’Oujda-Angad à destination de Bamako, la capitale du Mali.

Un autre vol devrait quitter le Maroc dans la journée, portant à 360 le nombre d’immigrés clandestins maliens expulsés jeudi. Un autre appareil devait rapatrier des Sénégalais dans la soirée. AP

By

Le Maroc renonce à expulser des émigrants par la Mauritanie

mercredi 12 octobre 2005, 20h10

GUELMIM (Maroc) (AFP) – Le Maroc a renoncé mercredi à expulser des émigrants africains par la Mauritanie et huit cents d’entre eux étaient regroupés mercredi dans un camp militaire du sud marocain.

Hicham Rachidi, un responsable de l’Association des familles des victimes de l’immigration clandestine (AFVIC), a assuré à l’AFP que ces 800 émigrants auraient dû être conduits vers la frontière mauritanienne.
« Dans un premier temps, les autorités nous ont dit que les bus partis dimanche de Bouarfa devaient s’arrêter à Guelmim (700 km au sud de Rabat) mais nos équipes qui suivaient le bus se sont rendues compte qu’ils avaient dépassé Guelmim et s’approchaient de la frontière mauritanienne », a-t-il affirmé.

« C’est sur notre insistance que les autorités ont demandé aux bus de faire demi-tour », a-t-il ajouté.
« Ces 800 émigrants ont été convoyés ces derniers jours vers le sud », a confirmé à l’AFP Federico Barroeta, un délégué de Médecins sans frontières (MSF) qui se trouvait devant le camp de militaire à proximité de Bou Izakarn (150 km Agadir). « Les autorités militaires ne m’ont pas autorisé à les rencontrer », a-t-il assuré.

Interrogé par téléphone, Emmanuel, 23 ans, originaire de Limbe (sud-ouest du Cameroun), a affirmé être arrivé dans ce camp lundi après avoir été bringuebalé durant une semaine de Nador, en face de l’enclave espagnole de Melilla, à Oujda (nord-est), puis dans le désert avant de revenir à Bouarfa (est).
Il a ensuité été convoyé par bus jusqu’à El Ayoun, chef-lieu du Sahara occidental avant de terminer ses tribulation à Bou Izakarn. « Nous recevons chauqe matin, un litre d’eau, du pain et une boite de sardines. Nous ne savons pas ce que nous allons devenir », a-t-il expliqué.

Par ailleurs, une journaliste de l’AFP a vu arriver mercredi en fin d’aprés midi dans un poste de garnison de Guelmim, deux cents émigrants subsahariens à bord de quatre bus. L’un d’eux, un Sénégalais, a déclaré qu’il venait de la région de Melilla.

Un responsable de la sécurité a affirmé mardi soir qu’il y avait eu « une erreur d’aiguillage » et que le Maroc avait renoncé à ce projet pour éviter toute discorde avec la Mauritanie.

D’après une source sécuritaire mauritanienne, Nouakchott avait exprimé mardi des réticences à recevoir les émigrants refoulés du Maroc à bord d’autocars « sauf preuves matérielles de leur transit par le territoire mauritanien ».
Une source diplomatique mauritanienne a assuré de son côté que des émigrants étaient arrivés à Dakhla pour être expulsés dans leur pays d’origine par des avions Hercules C130 de l’armée royale.

Par ailleurs, 217 émigrants se trouvaient mercredi à Dakhla, dernière grande ville du Sahara occidental avant la Mauritanie, selon un responsable de la préfecture dans cette ville.

Il a précisé qu’il attendait les instructions pour savoir où ces immigrants devaient être conduits. Selon le ministre de l’Intérieur, Moustapha Sahel, ils devraient être rapatriés vers Oujda.

Par ailleurs, cent-quarante émigrants maliens, sur les 606 répertoriés, sont arrivés mercredi à Bamako à bord d’un appareil de la Royal Air Maroc en provenance d’Oujda. Plusieurs vols doivent avoir lieu mercredi soir et jeudi pour le Mali et le Sénégal.

Quatre avions Boeing 737, avec 140 personnes à bord de chaque vol, sont prévus, ainsi qu’un Airbus A-320, affrété par l’Organisation internationale de la migration (OIM), pouvant contenir 250 personnes, a précisé la MAP.

Plus d’un millier d’émigrants sénégalais et maliens qui avaient tenté de gagner l’Europe en passant par le Maroc devraient être rapatriés dans leur pays d’origine. 549 Sénégalais ont déjà été rapatriés par avion.

Trois demandeurs d’asile sont par ailleurs en voie d’expulsion du Maroc et deux militants de l’Association des familles et des victimes de l’immigration clandestine (AFVIC) qui les accompagnaient sont convoqués au tribunal de Taza le 19 octobre pour « transport illégal d’immigrants ».

L’organisation humanitaire Médecins Sans Frontières (MSF) a demandé mercredi aux autorités marocaines « le libre accès au millier d’immigrants abandonnés dans la région de Bou-Izakarn (650 km au sud de Rabat, ndlr), afin de leur porter assistance ».

« Parmi eux, se trouvent des femmes enceintes et des enfants », a écrit MSF dans un communiqué.
Enfin, le commissaire européen en charge du dossier Franco Frattini a révélé que 20.000 immigrants sub-sahariens sont en attente en Algérie prêts à commencer leur voyage vers les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla et 10.000 autres sont déjà au Maroc.

By

Deux militants AFVIC accusés de transport de migrants irréguliers

Info AFVIC

Deux militants de la seconde équipe de l’AFVIC accusés de transport de migrants irréguliers vont être déférés devant le procureur de Taza. Deux demandeurs d’asile en possession d’un récépissé et un migrant en situation régulière risque fortement d’être refoulés vers l’Algérie.

Deux demandeurs d’asile en possession d’un récépissé et un migrant en situation régulière risque fortement d’être refoulés vers l’Algérie.